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dimanche 22 septembre 2024

Gouvernement Barnier : des premières réactions qui scellent déjà son échec...

 

Gouvernement Barnier : L’Avenir condamné avant même d’exister

Entre critiques acerbes et pressions politiques, un gouvernement mort-né

Les premières hostilités ne tardent pas

Samedi 21 septembre, un peu avant 20h, le gouvernement de Michel Barnier est enfin révélé.
Ce qui pourrait passer pour un simple acte protocolaire n'est en réalité qu’un épisode supplémentaire dans la lente agonie d’un pouvoir à bout de souffle. 

Bruno Retailleau à l’Intérieur, Rachida Dati à la Culture, Didier Migaud à la Justice... Ces noms, plutôt que d’inspirer une quelconque confiance, résonnent déjà comme une suite prévisible à l’échec macroniste.

Mélenchon, prophète de l’effondrement

Jean-Luc Mélenchon, imperturbable dans son rôle d’oracle de la catastrophe, n'a pas tardé à décrier ce nouveau gouvernement comme une erreur à corriger au plus vite.
« Il n’a ni légitimité, ni futur », clame-t-il, toujours aussi prompt à annoncer l'effondrement imminent de la République. Bruno Retailleau, « l’inquiétant ministre de l’Intérieur », devient pour lui l’incarnation d’un régime moribond.
Mélenchon, avec son ton de vieux sage déçu, prédit déjà l'échec total. 

Bardella : un avenir inexistant

Jordan Bardella, fidèle à la posture de déconstruction systématique du RN, s'empresse lui aussi de condamner le gouvernement de Barnier. « Aucun avenir », voilà la sentence froide et implacable qu’il prononce.
Derrière cette déclaration se cache une intention claire : affaiblir un gouvernement que son parti peut faire chuter à tout moment. Le Rassemblement national, jouant à l'opposition radicale, se voit déjà en arbitre cynique des prochaines crises institutionnelles. 

Faure, le bras d'honneur à la démocratie

Dans un tweet sec et sans nuance, Olivier Faure choisit l’ironie mordante pour exprimer son mépris : ce gouvernement serait un « bras d’honneur à la démocratie ».
Pour le Premier secrétaire du Parti socialiste, Barnier n'est qu’un acteur de plus dans une mascarade qui ne fait qu’aggraver le chaos politique. L'appel à la censure est à peine voilé, comme si l’effondrement du gouvernement n'était plus qu'une question de semaines. 

 

Marine Le Pen : Entre Bourbier Politique et Promesse d'Alternance

Le RN pointe du doigt les alliances contre-nature et se positionne en sauveur...
Toujours fidèle à sa rhétorique, Marine Le Pen n'a pas tardé à attaquer la légitimité du nouveau gouvernement de Michel Barnier. Selon elle, ce « gouvernement transitoire » est tout simplement la conséquence d’un « bourbier » politique, né des alliances contre-nature qui ont émergé lors des dernières élections législatives. Le système lui-même semble pourrir de l'intérieur, enchaînant des décisions absurdes et sans vision claire.

Cependant, derrière ce constat amer, Le Pen se veut optimiste, ou du moins pragmatique.
La grande alternance dont elle rêve reste, selon ses mots, en préparation. Son objectif est de redresser une France qu’elle considère au bord du gouffre. 

Sa promesse est claire : la montée du Rassemblement national, portée par une aspiration populaire, sera la réponse au déclin qu’incarne ce gouvernement fragile.

Un gouvernement fantôme

Entre l’animosité de Mélenchon, la froideur de Bardella et la résignation méprisante de Faure, il ne reste à Barnier que l’ombre de son poste. Ce gouvernement, qui a mis des semaines à se constituer, semble déjà condamné à n’être qu’un épisode de plus dans une longue série d’échecs institutionnels.

Le sentiment d’impuissance, cette fatalité insidieuse, imprègne chaque parole, chaque déclaration.
Le futur ? Est-ce qu'il y en aura un ?
Réponse dans quelques semaines... 

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Liste des nouveaux Ministres : Le dernier Acte d'une farce politique par Michel Barnier ?

 

Le gouvernement Barnier : Une ultime mascarade politique ?

Fumée blanche sur fond d'incertitude : Un exercice de pouvoir sous pression, une quête impossible de consensus

La nomination du Premier ministre Michel Barnier au début de septembre n’a fait qu'exacerber les tensions sous-jacentes d'un système politique au bord de l'asphyxie.
Après des semaines d'attente, Alexis Kohler annonce enfin, depuis l'Élysée, la composition de ce gouvernement.
La scène ressemble plus à une mauvaise comédie politique qu'à une véritable initiative de gouvernance.

 

Le chaos des négociations

L'injonction d’Emmanuel Macron était pourtant claire : former un gouvernement de rassemblement. Facile à dire, difficile à accomplir. Barnier s’est retrouvé coincé entre les ambitions de sa propre famille politique, Les Républicains, et l'intransigeance des alliés de la Macronie.
Tout le monde voulait sa part du gâteau, chacun refusant de céder une miette de pouvoir. Et à cela s'ajoute la menace sourde de l’extrême droite, en embuscade.

 

Michel Barnier

Les tractations incessantes

À gauche, les portes se sont fermées les unes après les autres. À droite, c’était une guerre intestine entre les ambitions personnelles et les exigences de parti. Renaissance, Horizons, MoDem... Tous exigeaient des clarifications, des garanties. Barnier, épuisé, isolé, voyait son poste vaciller dangereusement.
À deux jours de l’annonce, sa démission était presque sur toutes les lèvres. Pourtant, l’impasse a été franchie et Barnier est resté.

 

Un gouvernement d'apparat

Le résultat ? Une équipe de 40 membres qui ne ressemble en rien à un gouvernement de coalition, mais plutôt à une liste hétéroclite de personnalités contraintes de coexister, sans réelle cohérence politique.
À droite, on y trouve Didier Migaud à la Justice, Bruno Retailleau à l’Intérieur, et Sébastien Lecornu aux Armées.
À gauche ? Rien ou presque. La gauche, quant à elle, s’est évaporée dans cette danse grotesque du pouvoir. La vision d'un Barnier rassembleur s'est révélée n'être qu'une illusion. 

La liste des ministres du premier gouvernement Barnier.

19 ministres

  • Didier Migaud, garde des Sceaux, ministre de la Justice
  • Catherine Vautrin, Partenariat avec les territoires et Décentralisation
  • Bruno Retailleau, Intérieur
  • Anne Genetet, Éducation nationale
  • Jean-Noël Barrot, Europe et Affaires étrangères
  • Rachida Dati, Culture et Patrimoine
  • Sébastien Lecornu, Armées et Anciens combattants
  • Agnès Pannier-Runacher, Transition écologique, Énergie, Climat et Prévention des risques
  • Antoine Armand, Économie, Finances et Industrie
  • Geneviève Darrieussecq, Santé et Accès aux soins
  • Paul Christophe, Solidarités, Autonomie et Égalité entre les femmes et les hommes
  • Valérie Létard, Logement et Rénovation urbaine
  • Annie Genevard, Agriculture, Souveraineté alimentaire et Forêt
  • Astrid Panosyan-Bouvet, Travail et Emploi
  • Gil Avérous, Sport, Jeunesse et Vie associative
  • Patrick Hetzel, Enseignement supérieur et Recherche
  • Guillaume Kasbarian, Fonction publique, Simplification et Transformation de l’action publique
  • François-Noël Buffet, chargé des Outre-Mer auprès du Premier ministre
  • Laurent Saint-Martin, chargé du Budget et des Comptes publics auprès du Premier ministre

15 ministres délégués

  • Benjamin Haddad, Europe
  • Nathalie Delattre, Relations avec le Parlement
  • Maud Bregeon, porte-parole du Gouvernement
  • Marie-Claire Carrère-Gée, Coordination gouvernementale
  • Françoise Gatel, Ruralité, Commerce et Artisanat
  • François Duvovray, Transports
  • Fabrice Loher, Mer et Pêche
  • Nicolas Daragon, Sécurité du quotidien
  • Alexandre Portier, Réussite scolaire et Enseignement professionnel
  • Sophie Primas, Commerce extérieur et Français de l’étranger
  • Marc Ferracci, Industrie
  • Marie-Agnès Poussier-Winsback, Economie sociale et solidaire, Intéressement et Participation
  • Marina Ferrari, Économie du tourisme
  • Olga Givernet, Énergie
  • Agnès Canayer, Famille et Petite enfance

Cinq secrétaires d’État

  • Othman Nasrou, Citoyenneté et Lutte contre les discriminations
  • Thani Mohamed Soilihi, Francophonie et Partenariats internationaux
  • Laurence Garnier, Consommation
  • Salima Saa, Égalité entre les femmes et les hommes
  • Clara Chappaz, Intelligence artificielle et numérique

 

 Le début de la fin ?

Ce gouvernement, loin d’être le fruit d’un compromis politique, semble plutôt être une construction fragile destinée à s'effondrer sous le poids de ses propres contradictions. 

Un premier conseil des ministres est programmé pour lundi à 15 heures, avec une équipe qui ressemble plus à un patchwork de personnalités qu’à une machine de gouvernance efficace.
Les jours de Barnier à Matignon semblent déjà comptés.  

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samedi 21 septembre 2024

Yvelines : un tiktokeur appréhendé pour ses simulacres de contrôles policiers

 

Yvelines : L’illusion d’un contrôle policier sur TikTok Un jeune homme piégé par son propre divertissement

Un homme de vingt-quatre ans, pris dans le tourbillon délirant d’une époque où la réalité se confond avec le spectacle, a été arrêté le 5 septembre dernier.
Son crime ? Diffuser des vidéos sur TikTok où lui et ses comparses, déguisés en policiers, effectuaient de faux contrôles.
Les frontières du jeu et de la criminalité s'estompent, tandis que cette quête d'attention sur les réseaux sociaux révèle une désespérante banalité.

Des contrôles d’un autre monde

Utilisant une voiture ornée d’un gyrophare, ces jeunes hommes, dans un simulacre grotesque, trompaient piétons, cyclistes et une malheureuse passagère de scooter.
La déliquescence du lien social, exacerbée par l’ère numérique, les poussait à s’adonner à cette farce.
Mais leur imposture, bien que théâtrale, n’a pas échappé à l’œil vigilant d’un citoyen, et la plateforme Pharos a été alertée. 

Deux victimes, choquées par ce divertissement macabre, ont porté plainte après avoir pris connaissance des vidéos.

La vérité éclate au grand jour

L’affaire s'est déployée le 4 septembre, suite à un signalement qui venait briser le voile de l’illusion.
Dans ces vidéos, les faux policiers, armés de leur voiture aux lumières vacillantes, interpellaient sans scrupule des passants, allant jusqu’à fouiller l’un d’eux. 

Cette mise en scène, qui devrait être réservée aux films de série B, a pourtant pris place dans la réalité de Fontenay-le-Fleury.

Une admission étonnante

La première victime, une passagère de scooter, n’a pas tardé à comprendre que le rôle joué par ces individus était une farce perverse. Elle a déposé plainte sans attendre, suivie par une autre victime qui, se reconnaissant dans les vidéos TikTok, a réalisé l'absurdité de la situation. 

Le suspect, quant à lui, s’est présenté au commissariat le 5 septembre, confessant être l’auteur des vidéos. Il a tenté de justifier son acte par un besoin de divertissement, une explication d’une désarmante vacuité. 

Que pensez-vous de ce divertissement tragique ? Laissez un commentaire en cliquant sur le lien ci-dessous.

Limoges : violents affrontements au Val de l’Aurence, la RN141 bloquée, la Police ciblée

 

Limoges en Feu : affrontements violents au Val de l’Aurence, la Police encerclée

Dans une soirée qui aurait pu rester banale, une simple course-poursuite en centre-ville dégénère en émeutes, laissant la ville de Limoges au bord de l'implosion.

C’était un vendredi soir ordinaire, le genre de soir où tout semble déjà figé dans une morne routine.
Et pourtant, vers 21h30, le calme relatif de Limoges est balayé par un incident presque anodin : un refus d’obtempérer.
Tout commence avec un SUV lancé dans une fuite désespérée, une poignée de jeunes à bord, fuyant une patrouille de police.
Le quartier du Val de l’Aurence devient alors le théâtre de violences incontrôlées.

 

Des mortiers d’artifice comme signal de guerre

Un simple tir de mortier d’artifice, une gerbe éphémère dans le ciel nocturne, marque le début d’un chaos latent. Les policiers, alertés, réagissent immédiatement, mais ce qui aurait pu être un simple contrôle vire rapidement à la confrontation. 

La course-poursuite conduit inévitablement au Val de l’Aurence, ce quartier périphérique, gangrené par la violence latente et l'abandon. C’est ici que tout dégénère, où les lois de la République semblent suspendues.

Barricades et affrontements dans une nuit d'émeutes

La rue du Maréchal Joffre se transforme en champ de bataille.
Des barricades surgissent, presque par automatisme, comme si la violence était programmée, inévitable. Les jeunes, armés de mortiers d’artifice et de pierres, prennent pour cible les forces de l’ordre, jouant une scène de guerre urbaine absurde.
Les policiers répondent par des tirs de gaz lacrymogène, mais la nuit, déjà noire, semble ne plus vouloir se calmer.

 

La RN141 coupée, la ville en suspens

La tension monte d’un cran quand, vers 23h, un groupe de jeunes décide de s’installer sur le pont surplombant la RN141. Comme des ombres surplombant la ville, ils jettent des projectiles sur les véhicules qui passent.
Un acte qui dépasse l’entendement, où la destruction devient presque gratuite. Les autorités, débordées, prennent une décision radicale : couper la route, déviant ainsi la circulation. 

Limoges, pour quelques heures, est mise sur pause, bloquée par sa propre violence.

Retour au calme, mais pour combien de temps ?

Le calme revient, lentement, vers 1h du matin. Mais ce n’est qu’un répit. Les policiers n’ont procédé à aucune interpellation, les auteurs de cette violence demeurent libres, comme si la ville elle-même attendait la prochaine explosion. 

Une enquête est ouverte, mais dans le silence de la nuit, on sait déjà que ce n’est qu’une parenthèse.
Val de l’Aurence reste un quartier en tension, une bombe à retardement prête à exploser à nouveau. 

Et vous, comment réagissez-vous face à ces scènes de violence urbaine ? Donnez votre avis en laissant un commentaire en cliquant sur le lien ci-dessous.

Seine-Saint-Denis : un père abattu chez lui, la Mort traverse sa porte...

 

Une existence fauchée : le père de famille tué par balle à travers sa propre porte devant sa femme et ses enfants

Retour d’un mariage, dans le silence d’une nuit ordinaire, une vie s’effondre sous le poids d’un assassinat absurde en Seine-Saint-Denis.

Dans une banlieue grise, une rue déserte, tout est calme.
Un homme, un père de famille, rentre chez lui après une soirée de mariage. Il n’y a aucune raison de croire que cette nuit sera différente des autres. 

Mais à Tremblay-en-France, la nuit a décidé de ne plus jamais être la même. Alors qu’il pousse la porte de son pavillon modeste, un coup de feu éclate. Il n’a même pas le temps de comprendre ce qui se passe.

Une mort à bout portant

À travers la vitre de la porte, dans une violence froide et silencieuse, une balle atteint sa tempe.
L'impact est immédiat, brutal, irrémédiable. Les coups de feu proviennent de l’extérieur, mais les motivations restent aussi opaques que le vide qui entoure ces rues résidentielles. 

"Un ou plusieurs individus", c’est tout ce que l’on sait. Le père de famille, né en 1975, s’écroule.
Son existence, déjà malmenée par la banalité des jours, s’achève dans une scène qui pourrait appartenir à n’importe quelle série télévisée, si elle n’était pas réelle.

L'absurde comme réalité

Pourquoi ? C’est la question qui résonne dans l’esprit de ceux qui restent.
Peut-être avait-il oublié ce câble de téléphone dans sa voiture comme un dernier geste dérisoire pour retarder l’inévitable.
Un retour précipité dans sa maison, un refuge illusoire, juste avant que l’assassinat ne s’abatte sur lui, comme un couperet froid et dénué de sens.
Un coup de feu, un silence. L’écho des balles se dissipe, mais l’absence reste.

 

L'enquête progresse dans l'ombre

La brigade criminelle de Paris a hérité de l’affaire, comme si le tragique demandait des spécialistes pour en analyser chaque détail.
Le parquet de Bobigny a ouvert une information judiciaire pour assassinat. Peut-être qu’un jour la vérité éclatera, mais elle viendra trop tard. 

Une fois de plus, dans cette France morcelée, une vie s’éteint sans raison apparente, et la machine judiciaire se met en marche. Les faits, glacials, défilent : une porte, une vitre brisée, des tirs provenant de l’extérieur.

La banalité de la mort

Ce pavillon tranquille, ce quartier sans histoire, se fond dans la toile monotone de ces banlieues où la vie est à peine plus qu'une attente silencieuse de la fin.
Mais ici, l'attente a pris une forme brutale, inattendue, laissant une famille anéantie. 

Le père de famille n’est plus qu’un nom de plus dans les statistiques, une victime de plus dans une société qui semble n’avoir de cesse de se décomposer.  

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Inédit : un Marseillais cible de 56 PV infligés par sa voisine policière...

 

Le malentendu inévitable : la tragédie d’un marseillais harcelé par sa voisine policière

Quand le banal conflit de voisinage se transforme en cauchemar administratif : la descente aux enfers d'Hervé Street, victime de la bureaucratie et de l'excès de zèle.

 

Un engrenage absurde

Dans ce quartier morne du 4e arrondissement de Marseille, où l’horizon est bouché par l’asphyxie du quotidien, un homme se débat contre la machine implacable de l’administration.

Hervé Street,
entrepreneur presque anonyme, découvre un jour que sa propre existence peut être mise à mal par des feuilles de papier.
Non pas des contraventions, mais des attaques en règle, répétées, venues d’une autorité qui, en théorie, devait le protéger. Cette autorité, c’est sa voisine.

 

L’injustice implacable

56 fois. 56 PV, reçus en moins de deux ans, tous signés par la même main.
Celle d'une fonctionnaire de police qui partage le même bout d’asphalte.
On pourrait y voir un simple concours de circonstances, si ce n’était l’évidence d’un harcèlement quasi méthodique. "C'est du jamais vu", lâche-t-il, la voix cassée par l’incompréhension.
Les mots sont froids, mais la situation est brûlante.
Ici, dans l’impasse des Olivettes, où tout le monde se connaît, tout le monde sait que ce n’est pas une simple question de stationnement.

 

La lenteur du système

Pour répondre à cette folie bureaucratique, les instances se mettent en branle. L’IGPN, cette institution que l’on imagine presque théorique, a été saisie. Peut-être qu’au sommet de cette pyramide administrative, quelqu’un finira par reconnaître l'absurdité de la situation.
Mais pour l’instant, Hervé Street et ses voisins sont seuls, face à des amendes injustifiées qui continuent de pleuvoir. "Pourquoi elle nous verbalise ?" Cette question, lancinante, semble se perdre dans le vide.

 

Un problème qui s’étend

Car ce n’est pas seulement l’histoire d’un homme contre une machine. Cette situation est partagée par plusieurs voisins, pris dans la même nasse, face au même agent verbalisateur.
Comme dans une mauvaise pièce de théâtre, les amendes s’accumulent, les montants varient, mais la signature reste la même.
Une sorte de signature invisible du pouvoir, celle qui ne s’explique pas mais s’impose. 

 

La loi du silence

Face à cette situation qui frôle l’absurde, Hervé Street fait ce qu’il peut. Avec son avocat, maître Aurélien Olivier, il tente d'obtenir des réponses.
Mais là encore, la machine judiciaire semble aussi lente que froide. Des enquêtes sont lancées, mais elles prennent du temps. Trop de temps.
Pendant ce temps, la vie d'Hervé continue de s'effriter, centimètre après centimètre, contravention après contravention.

 

L’issue incertaine

Le 18 septembre dernier, Hervé a été convoqué pour une vingtaine de ces contraventions.
Le ministère public a fini par en classer une partie sans suite, mais cela ne met pas fin à cette spirale infernale.
Le dossier est renvoyé en novembre, comme si tout cela ne devait jamais finir. 

Comme si le sort d’un homme pouvait être suspendu aux caprices de la bureaucratie, à l’insensibilité d’une machine qui écrase tout sur son passage.  

Et vous, que feriez-vous dans une telle situation ? Donnez votre avis en laissant un commentaire en cliquant sur le lien ci-dessous.

Sources : BFMTV

Vallauris : Cyril Hanouna révèle que la mère du motard qui a tué Kamilya a écrit au papa de la petite fille pour lui demander de cesser de menacer son fils

 Kamilya

Vallauris : La mère du motard responsable de la mort de Kamilya supplie le père d’arrêter les menaces

Un échange troublant dévoilé par Cyril Hanouna met en lumière un nouveau chapitre de l’affaire Kamilya, entre harcèlement, douleur et drame...On est bien chez les fous et on marche vraiment...en effet...sur la tête !

Cyril Hanouna a révélé vendredi 20 septembre, lors de son émission Touche pas à mon poste, (TPMP) un détail poignant de l’affaire Kamilya : la mère du motard responsable de la mort de la fillette a écrit une lettre au père de la petite victime.
Une lettre où elle lui demande d’arrêter de menacer son fils.
Ironie mordante, c’est à peine quelques heures avant que le père de Kamilya, lui-même, suppliait publiquement que l’on cesse de harceler le motard, appelant au respect de la justice.

 

Les menaces : qui harcèle qui ?

Dans cette correspondance troublante, la mère du motard affirme que "les seules menaces que reçoit son fils" proviennent du père de Kamilya.
Un retournement inattendu dans cette affaire, qui semble dessiner une ambiance délétère à Vallauris, où le drame pèse lourd sur les esprits et exacerbe les tensions. 

 

Un drame qui divise

Pour rappel, le 29 août dernier, Kamilya, âgée de 7 ans, a été tragiquement fauchée par une moto conduite par Matteo B. Depuis, la ville de Vallauris, déjà engourdie par la chaleur du sud, semble se réveiller chaque jour dans un climat de reproches croisés.
Des images de vidéosurveillance, récemment dévoilées par BFMTV, viennent troubler la version du motard sur ce qu’il s’est vraiment passé.

 

Les images ne mentent pas

Sur les vidéos, on observe clairement la moto de Matteo B. se lever, la roue avant se cabrant, signe que l’accident n'était pas si accidentel. "Le feu de la moto n'est plus visible", indiquent les enquêteurs, confirmant que le jeune homme a manœuvré sa machine pour tenter de la garder sous contrôle. Mais il était trop tard.
Dans cette affaire, chaque détail semble piéger encore davantage le motard dans une spirale de responsabilités qu'il tente difficilement de fuir.

 

La justice, ou une chimère ?

Lors de son audience du 10 septembre, Matteo B. a affirmé que la roue de sa moto s’était levée "involontairement". Une défense peu convaincante face aux images accablantes. 

Dans cette affaire, où la douleur des parents se mêle à la pression sociale et médiatique, la question reste la même : peut-on encore croire en la justice lorsque l’émotion publique dicte le jugement ?  

Laissez un commentaire ci-dessous pour partager votre avis sur cette affaire qui bouleverse Vallauris.

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)