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Affichage des articles associés au libellé police

Dernier article publié

La députée Insoumise, Erislia Soudais, va soutenir pendant sa garde à vue Elias d'Imzalene qui avait déclaré vouloir "mener l'Intifada à Paris" lors d'un rassemblement pro-palestinien

Garde à vue et Intifada : L'écho troublant de l'engagement militant Erisilia Soudais défend Elias d'Imzalene, l’influenceur sous le poids des mots lors d'une manifestation pro-palestinienne à Paris   Un appel à la violence La députée Insoumise, Erisilia Soudais, se retrouve plongée dans la tourmente de la société contemporaine, où les mots peuvent se transformer en armes redoutables.  Elias d'Imzalene, cet influenceur de 29 ans, a ébranlé les esprits le 8 septembre dernier, lorsqu’il a clamé, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris, qu’il souhaitait "mener l’Intifada à Paris" .  Une déclaration qui résonne comme un cri de ralliement pour certains, mais qui, pour d’autres, constitue une provocation inacceptable. Des conséquences judiciaires Ce dernier, animateur du site Islam & Info et membre de l’association islamiste Perspectives musulmanes, a été placé en garde à vue suite à ses déclarations. Une enquête a été ouverte pour « provocatio

Brest : Un homme de 39 ans arrêté après une agression violente sur un chien policier et insultes contre les forces de l’ordre

Brest : La lente désintégration du lien social, un homme frappe un chien policier et insulte les forces de l’ordre Dans une nuit sans lumière, au cœur d’une ville où l’ennui règne, la violence éclate sur fond de musique assourdissante, un homme de 39 ans s’en prend à un chien policier avant de défier les agents dans une scène de désœuvrement urbain.   Une nuit ordinaire à Brest, un effondrement sous les décibels Dans la nuit du 21 au 22 septembre 2024, dans cette ville de Brest (Finistère) où chaque rue semble renfermer la promesse d’une déliquescence progressive, un incident presque banal se produit.  Vers 1 h 50 du matin, les habitants du square Laënnec, condamnés à l’insomnie par la vacuité de leur existence, sont brutalement tirés de leur sommeil par des nuisances sonores. Une musique à plein volume. Rien de surprenant. Ce n’est qu’un symptôme de plus de l’effondrement généralisé. Les forces de l’ordre, elles, n’interviennent plus vraiment pour rétablir un semblant de paix, mais

Seyne-sur-Mer : Une automobiliste blesse une policière après un refus d’obtempérer

La Seyne-sur-Mer : Une policière blessée lors d'un refus d’obtempérer, reflet d’un malaise grandissant À la Seyne-sur-Mer, du côté de Toulon dans le Var, un contrôle de police vire à l’incident, une automobiliste de 39 ans refusant d’obtempérer, blessant légèrement une policière avant de prendre la fuite.   Un contrôle qui tourne mal Il est devenu presque banal de voir la violence éclater là où la loi tente d’exister encore.  Lundi 23 septembre, à La Seyne-sur-Mer, une automobiliste de 39 ans s’en est violemment prise à un équipage de police. Tout est parti d’une frustration, d’un sentiment d’injustice ; la femme reprochait aux policiers de ne pas arrêter un homme qu’elle jugeait en infraction.   Ce qui devait être un simple contrôle est rapidement devenu une scène de chaos. Le refus d'obtempérer comme symptôme Les policiers, professionnels dans leur posture, ont décidé de procéder à un contrôle. Mais la femme, déjà emportée par sa colère, a refusé de coopérer. Refuser de

Orvault : La désillusion d'une politique écologiste face à l’effondrement de la sécurité municipale

Orvault : Quand la sécurité municipale s’effondre sous le poids d’une politique écologiste La ville d'Orvault, près de Nantes, est frappée par une crise de sécurité, avec un effectif policier réduit à seulement trois agents. Une situation alarmante Dans la commune d’Orvault, située au nord de Nantes, le tableau s’assombrit. Avec une population de 27 300 habitants , la ville écologiste, jadis prometteuse, ne peut se vanter que de trois policiers municipaux sur les neuf initialement prévus.   Comme le relate nos confrères du Figaro , Sébastien Arrouët, conseiller municipal d’opposition, n’hésite pas à fustiger cette situation dans un communiqué en forme de cri d’alarme : « Où sont passés les policiers municipaux ? ».  Le printemps dernier a marqué le début d’une hémorragie, laissant le corps municipal dépouillé de ses agents, tandis que les élus de centre-droit se délectent de cette débâcle. Les promesses oubliées Il est ironique de constater qu’au début de son mandat, le mai

Deux enfants de 4 ans échappent à la surveillance d’un centre de loisirs, retrouvés par la police au milieu d’un rond-point

Yvelines : L’évasion improbable de deux enfants de 4 ans d’un centre de loisirs À Élancourt, deux enfants de 4 ans échappent à la vigilance du centre Jean-Monnet et sont retrouvés errant dans un rond-point. Un couple d’automobilistes témoins de l’absurde Ce mercredi 11 septembre, vers 15h, deux enfants de 4 ans, élèves au centre de loisirs Jean-Monnet d'Élancourt, ont réussi à s’échapper. Personne ne s’attendait à ce que deux bambins, à peine capables de lacer leurs chaussures, puissent fausser compagnie à des adultes supposés les surveiller.  Leur fugue, sans véritable but, s’est interrompue au milieu d’un rond-point bondé. C’est là qu’un couple d’automobilistes, figé d’incrédulité, les aperçoit et alerte la police.   On pourrait en rire si cela n’était pas aussi symptomatique d’une défaillance plus large. La promenade improvisée Ce n’est qu’après coup que l’on comprend l’étrangeté du récit : deux enfants de 4 ans, en pleine après-midi, décident de quitter le centre de loisi

Paris : 495 Vendeurs à la Sauvette et Bonneteaux Dispersés en 24 Heures par la Police près de la Tour Eiffel

  Le Bal Tragique de la Tour Eiffel : 495 Vendeurs à la Sauvette Dispersés en 24 Heures La précarité ordinaire s'invite au pied du monument le plus visité de Paris, alors que la police tente de maintenir l'illusion d'un espace public contrôlé.   Un ballet perpétuel d’interventions C’est un fait. Chaque jour, sous le regard indifférent des touristes, les forces de l’ordre mènent un combat sans fin contre une armée invisible mais omniprésente. Ce week-end, elles ont chassé 495 vendeurs à la sauvette et joueurs de bonneteau aux abords de la tour Eiffel et du Trocadéro . Un rituel presque quotidien dans cette capitale où la délinquance prolifère comme une mauvaise herbe, malgré les opérations régulières.   Le fracas des arrestations et des saisies Dans l’indifférence générale, 14 arrestations . Un chiffre qui semble dérisoire face à la masse de l’informalité qui engloutit les rues parisiennes. La préfecture de police tente, en vain, de rassurer en diffusant des chiffres sur

Pays Basque : Afflux de migrants à la frontière franco-espagnole malgré les contrôles policiers renforcés

  Pays Basque : L’inexorable afflux de migrants à la frontière franco-espagnole Une lutte vaine contre un phénomène migratoire incontrôlable   Une frontière sous tension Dans le Pays basque, un paradoxe se dessine : malgré les efforts acharnés des autorités, des milliers de passages irréguliers persistent chaque année. La police française, scrutant avec rigueur le pont de Béhobie, semble pourtant n’être qu’un embouteillage temporaire dans le cours chaotique des vies en quête de refuge. Plus de 5.000 migrants , selon les associations, franchissent cette barrière chaque année, témoignage d’une réalité qui dépasse les discours.   Des stratégies de contournement « Ils profitent de nos relèves pour passer », déclare Patrick Peyruqueou sur CNews , porte-parole d’un syndicat local, avec une lassitude palpable. L’échange d’informations entre migrants agit comme un fil invisible, leur permettant d’exploiter les failles d’un système. Ils tentent, échouent, mais persévèrent. L’échec n’est qu

Yvelines : un tiktokeur appréhendé pour ses simulacres de contrôles policiers

  Yvelines : L’illusion d’un contrôle policier sur TikTok Un jeune homme piégé par son propre divertissement Un homme de vingt-quatre ans, pris dans le tourbillon délirant d’une époque où la réalité se confond avec le spectacle, a été arrêté le 5 septembre dernier. Son crime ? Diffuser des vidéos sur TikTok où lui et ses comparses, déguisés en policiers, effectuaient de faux contrôles . Les frontières du jeu et de la criminalité s'estompent, tandis que cette quête d'attention sur les réseaux sociaux révèle une désespérante banalité. Des contrôles d’un autre monde Utilisant une voiture ornée d’un gyrophare, ces jeunes hommes, dans un simulacre grotesque, trompaient piétons, cyclistes et une malheureuse passagère de scooter. La déliquescence du lien social, exacerbée par l’ère numérique, les poussait à s’adonner à cette farce. Mais leur imposture, bien que théâtrale, n’a pas échappé à l’œil vigilant d’un citoyen, et la plateforme Pharos a été alertée.  Deux victimes, choquées p

Inédit : un Marseillais cible de 56 PV infligés par sa voisine policière...

  Le malentendu inévitable : la tragédie d’un marseillais harcelé par sa voisine policière Quand le banal conflit de voisinage se transforme en cauchemar administratif : la descente aux enfers d'Hervé Street, victime de la bureaucratie et de l'excès de zèle.   Un engrenage absurde Dans ce quartier morne du 4e arrondissement de Marseille, où l’horizon est bouché par l’asphyxie du quotidien, un homme se débat contre la machine implacable de l’administration. Hervé Street, entrepreneur presque anonyme, découvre un jour que sa propre existence peut être mise à mal par des feuilles de papier. Non pas des contraventions, mais des attaques en règle, répétées, venues d’une autorité qui, en théorie, devait le protéger. Cette autorité, c’est sa voisine.   L’injustice implacable 56 fois. 56 PV, reçus en moins de deux ans, tous signés par la même main. Celle d'une fonctionnaire de police qui partage le même bout d’asphalte. On pourrait y voir un simple concours de circonstances,

La tragédie de Steve à Nantes : relaxe du commissaire

  L'absence et la tragédie : la relaxe du commissaire Le procès d'un homme, la mort d'un autre : réflexions sur l'indifférence. Deuxième relaxe d'un policier pour cette semaine. la nuit de la fête, la chute dans l'oubli La nuit du 21 au 22 juin 2019, dans cette ville que l’on croyait festive, un jeune homme, Steve Maia Caniço , sombra dans la Loire. Vingt-quatre ans. Une existence qu’il aurait pu vivre, un avenir qui s’éteint dans l’indifférence d’un monde occupé à célébrer des mélodies éphémères. Les forces de l’ordre, en quête d’une autorité vacillante, s’étaient déployées, des silhouettes autoritaires se détachant dans l’obscurité, projetant des ombres sur la vie d’un individu. l’humanité mise en jugement Grégoire Chassaing , le commissaire, jugé pour homicide involontaire, s'est retrouvé devant un tribunal, une scène de théâtre où le drame personnel s’entrelace avec les attentes sociétales. Ce procès, qui s'est étendu du 10 au 14 juin, avait la

Arrestation de Gabriel D. à Bondy : la cour d’appel ratifie le non-lieu pour le policier en question

  Arrestation à Bondy : la justice et ses ambiguïtés La cour d’appel confirme le non-lieu pour le policier dans l’affaire de Gabriel D. La seconde relaxe de la semaine pour un policier mis en cause dans une affaire .   une décision de la cour, un non-lieu pesant Le 10 septembre, la cour d’appel de Paris a tranché, avec une froideur bureaucratique, sur le sort d’un policier impliqué dans l’arrestation de Gabriel D., un adolescent de 14 ans. Le non-lieu, prononcé précédemment, a été confirmé, écartant toute possibilité de jugement pour le fonctionnaire.  Une décision qui laisse dans l’ombre les enjeux d’une affaire aux ramifications complexes.   la nuit fatidique de mai 2020 Tout commence dans la nuit du 25 au 26 mai 2020, à Bondy, lorsque Gabriel est interpellé pour avoir tenté de voler un scooter. Il aurait, selon ses dires, subi des violences policières : des coups de pieds au visage, alors qu’il était à terre, maîtrisé, menotté. Un récit qui évoque la brutalité d’un système.  

La Courneuve : une vingtaine d'individus s'en prend aux policiers lors d'une interpellation

  La Courneuve : quand la Loi se heurte à la violence collective Une nuit de chaos La nuit est tombée sur La Courneuve , mais la quiétude des ruelles s’est muée en une scène de chaos. Ce qui aurait pu n’être qu’une interpellation banale s’est transformé en une véritable émeute, révélant les tensions latentes qui agitent ce coin de Seine-Saint-Denis.  Vers 22h30, un équipage de la Brigade territoriale de contact (BTC) entreprend de contrôler un véhicule, ignorant encore que le déroulement de leur mission allait tourner à l’absurde. Une spirale de violence À l’intérieur de la voiture, quatre occupants, dont l’un sous contrôle judiciaire, deviennent les acteurs involontaires d’un drame. Les policiers, dans l’exercice de leur devoir, se trouvent confrontés à une riposte violente. Les trois autres passagers, dans un élan de désespoir ou de révolte, assaillent les forces de l’ordre .  Mais l’horreur ne s’arrête pas là : une vingtaine d’individus se regroupe, comme un essaim enragé, pour s’en

Le Havre : un homme attaque un vigile et exhibe ses parties génitales devant les policiers en pleine arrestation

  Le Havre : l’ivresse d’un homme débouche sur la violence et l'exhibition devant des policiers Dans une société où tout semble dériver, il existe des histoires qui ressemblent davantage à des paraboles du chaos.  Celle-ci en est une. Au Havre, un homme, perdu dans les méandres de l'alcoolisme, se retrouve face à un tribunal après une série d’événements dignes d’un mauvais rêve. Une bouteille de rhum, point de départ d’une dérive Tout commence avec un geste banal, presque prévisible : une tentative de vol. Le prévenu entre dans un magasin du Havre, l’esprit embrumé par des années de consommation. Son but ? Voler une bouteille de rhum, ce liquide qui semble à la fois sa malédiction et son seul salut.  Mais rien ne se passe comme prévu. Le vigile le repère, et ce qui aurait pu se résoudre en quelques mots vire à la violence. Le prévenu frappe l’agent de sécurité, l’atteignant au visage et aux parties intimes. Il ne s’arrête pas là. Des propos racistes s’échappent de sa bouche, co

Olivier Marchal, ex-policier et cinéaste, condamné pour avoir qualifié Mélenchon de "connard"

  Olivier Marchal : L'Insulte comme Révélateur de Fractures Politiques Un mot de trop, une condamnation symbolique Olivier Marchal, ex-flic devenu réalisateur, s’est retrouvé, malgré lui, pris dans les rouages lents et froids de la justice française. 1 000 euros avec sursis, telle est la somme que lui impose un tribunal pour avoir prononcé un mot – « connard » – à l'égard de Jean-Luc Mélenchon.  Ce mot, lancé presque avec légèreté lors d’une émission télévisée en mai 2022, s’est transformé en affaire d’État. Là où d'autres voient de simples éclats de colère, la machine judiciaire y a décelé une injure publique, une atteinte à la dignité. Dans un monde où l’insulte semble souvent prendre la place de l’argument, c’est à une logique implacable que Marchal s’est vu confronté. L’émotion brute face au politiquement correct Le contexte politique était déjà explosif ce jour de mai, lorsque, sur le plateau de Chez Jordan, Marchal a laissé échapper cette injure. La confrontation v

Drôme : Une conductrice éméchée percute des policiers lors d’une fuite chaotique

  Drôme : l’accident inattendu d’une conductrice éméchée en fuite désespérée Une nuit troublée à Bourg-de-Péage Dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 septembre, la tranquillité de Bourg-de-Péage, cette petite commune de la Drôme, a été brutalement perturbée. Peu après minuit, un véhicule suspect s’est immiscé dans le décor urbain, attirant l’attention d’un équipage de la police nationale.  Au volant, une femme de 33 ans, sous l’emprise d’un alcoolisme aussi évident que pitoyable , a fait de cette intervention une scène de chaos inattendu. Une rébellion au volant Face à un contrôle inévitable, la trentenaire a choisi la résistance, préférant l’affrontement à la coopération. Son refus catégorique de se soumettre à un test d’alcoolémie ne fit que précipiter les événements. Ignorant les sommations, elle redémarre son véhicule dans un acte désespéré de fuite. En enclenchant la marche arrière avec une précipitation frénétique, elle renverse plusieurs policiers présents sur les lieux, caus

VIDEO CHOC : Un policier municipal percuté par un chauffard au volant d’une voiture volée !

  Yvelines : Un policier percuté par un chauffard en fuite au volant d’une voiture volée Un contrôle routier qui vire à la catastrophe Ce mercredi après-midi, au Chesnay , la banalité d’un contrôle routier se transforme en un drame frappant. Un policier municipal de 50 ans, engagé dans une opération de routine, se retrouve face à un automobiliste insouciant au volant d’une Peugeot 208 volée.  Le moment, capté par un témoin, rappelle que la violence peut surgir à tout instant, même au cœur des activités les plus ordinaires. La scène, brutale et sans pitié, est rapidement relayée sur les réseaux sociaux, témoignant d’une société en proie à l’inquiétude, où chaque interaction avec l’autorité peut se transformer en un affrontement sanglant. Le choc de la réalité Lorsque le policier tente d’intercepter le véhicule, le chauffard choisit la fuite, percutant de plein fouet l’agent. La violence du choc projette le fonctionnaire sur une voiture garée, le tout dans une indifférence tragique à

Affaire Nahel : Plus d’un an d’enquête révèle des résultats d’expertises stupéfiants

  Affaire Nahel : Plus d’un an après, les résultats inattendus des expertises viennent ébranler les certitudes Un drame devenu un symbole de la contestation sociale Le 27 juin 2023 , à Nanterre, un simple contrôle routier tourne au drame. Nahel Merzouk, 17 ans, meurt sous le tir d’un policier après avoir refusé d’obtempérer. La scène, rapidement capturée par des vidéos amateurs, inonde les réseaux sociaux et déclenche une vague de colère, principalement dans les quartiers populaires.  Nahel devient alors l’étendard des luttes contre les violences policières prétendument « systémiques ». Mais ce symbole, érigé presque instantanément, s’appuie sur des récits troublés, des versions hâtives, comme souvent.  Un an plus tard, l’enquête dévoile des résultats inattendus, venant bousculer le récit initial porté par la vague émotionnelle. Une enquête qui déconstruit les premières accusations L’onde de choc provoquée par la mort de Nahel repose en grande partie sur ces quelques secondes de vi

Bavure policière : deux policiers condamnés et suspendus après une garde à vue marquée par des violences

  Paris : La déchéance tranquille des forces de l’ordre – deux policiers condamnés et interdits d’exercer Un épisode banal de violence policière Le 17 septembre, deux policiers ont été condamnés pour un incident survenu lors d'une garde à vue qui a dégénéré dans un commissariat du VIIIe arrondissement de Paris.  L’affaire, captée par des caméras de vidéosurveillance, s'inscrit tristement dans la continuité des dérives quotidiennes d'une institution à bout de souffle. Ce genre de fait divers, répété ad nauseam, laisse un goût amer, celui d’une impunité qui se fissure lentement, mais sûrement.  Les policiers, censés incarner la loi, se retrouvent, une fois encore, de l'autre côté de celle-ci, leurs actes épiés, jugés, condamnés dans une salle de tribunal presque vide, aussi vide que leur promesse de servir et protéger. Une violence presque mécanique Le 8 octobre 2023, un homme, arrêté pour une conduite en état d’ébriété et outrage, se retrouve menotté à un banc dans un

Une jeune fille de 13 ans ligotée et menacée lors d’un home-jacking : enquête ouverte

  Adolescente séquestrée et menacée pendant un home-jacking dans le 16e arrondissement de Paris : la violence ordinaire des beaux quartiers Une intrusion violente au cœur d'un quartier bourgeois Dans le 16e arrondissement de Paris , là où les façades impeccables cachent souvent des vies d’une monotonie écrasante, la violence a fait irruption ce lundi 16 septembre.  Rue Raynouard, une adolescente de 13 ans a ouvert la porte de son appartement à deux individus , sans savoir que son après-midi allait prendre une tournure cauchemardesque. Les voleurs, armés et déterminés, ne se sont pas contentés de piller les lieux. Non, ils ont franchi un cap, un de ces moments où l'on réalise que l'inhumanité n'a pas de frontières. Menaces et ligotage : l’innocence face à la brutalité L’adolescente, encore si jeune, s’est retrouvée face à l’irréparable. En un instant, sa liberté a été anéantie par deux hommes qui, armés d’un couteau, l’ont ligotée dans sa propre chambre, comme pour ma

Bordeaux : une agression éclatante en pleine journée – Deux policier hors service attaqués par un individu armé

  Deux policier hors service victimes d’une agression violente en plein jour – La crainte de la police en question Le Spectacle de l'Inadéquation En ce jour d'une banalité troublante, l'esplanade Charles de Gaulle à Bordeaux, lieu habituellement dédié à l'indifférence collective, a été le théâtre d'une scène aussi violente que révélatrice. Deux policiers, membres de la Division de la criminalité territoriale (DTC), se trouvant en pause méridienne, ont été attaqués par un individu armé d’un couteau .  Ce fait, d'une résonance inquiétante, s'est déroulé sous les yeux indifférents de la ville, comme un épisode grotesque d'une réalité qui ne cesse de se dégrader. La Réponse de l’Autorité et l’Inadéquation de la Réaction Selon le syndicat Alternative Police Gironde, les deux agents, malgré leur statut clairement affiché et leur tentative d'invocation de l'autorité, ont été brutalement frappés. L’agresseur, en dépit des cartes professionnelles exhib

Le syndicat de police Alliance porte plainte contre Sébastien Delogu après des insultes : "Il veut notre haine, il aura notre détermination"

Affaire Delogu : Acte 2 Le syndicat de police Alliance face à Sébastien Delogu : L'escalade de la haine institutionnelle et la plainte annoncée L'invective publique et la violence des mots Le jeudi, sur les ondes de Sud Radio, Sébastien Delogu, député insoumis, s'est permis une sortie que peu auraient osé . D'un ton dédaigneux, sans hésitation, il qualifie les membres du syndicat de police Alliance de "pourritures" .  Une attaque frontale, gratuite, qui trahit un mépris presque routinier pour ceux qui représentent une institution déjà profondément contestée. Jean-Jacques Bourdin, de son air faussement complice, laisse passer les mots, comme si l'outrage était une norme dans le débat public actuel. "Moi, ces gens-là, je n’ai pas le temps pour eux", lance Delogu, non sans une certaine jouissance apparente à provoquer, à inciter, à exacerber.  Une institution acculée, entre mépris et survie Le syndicat Alliance, qui, depuis des années, incarne

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)