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samedi 21 septembre 2024

Inédit : un Marseillais cible de 56 PV infligés par sa voisine policière...

 

Le malentendu inévitable : la tragédie d’un marseillais harcelé par sa voisine policière

Quand le banal conflit de voisinage se transforme en cauchemar administratif : la descente aux enfers d'Hervé Street, victime de la bureaucratie et de l'excès de zèle.

 

Un engrenage absurde

Dans ce quartier morne du 4e arrondissement de Marseille, où l’horizon est bouché par l’asphyxie du quotidien, un homme se débat contre la machine implacable de l’administration.

Hervé Street,
entrepreneur presque anonyme, découvre un jour que sa propre existence peut être mise à mal par des feuilles de papier.
Non pas des contraventions, mais des attaques en règle, répétées, venues d’une autorité qui, en théorie, devait le protéger. Cette autorité, c’est sa voisine.

 

L’injustice implacable

56 fois. 56 PV, reçus en moins de deux ans, tous signés par la même main.
Celle d'une fonctionnaire de police qui partage le même bout d’asphalte.
On pourrait y voir un simple concours de circonstances, si ce n’était l’évidence d’un harcèlement quasi méthodique. "C'est du jamais vu", lâche-t-il, la voix cassée par l’incompréhension.
Les mots sont froids, mais la situation est brûlante.
Ici, dans l’impasse des Olivettes, où tout le monde se connaît, tout le monde sait que ce n’est pas une simple question de stationnement.

 

La lenteur du système

Pour répondre à cette folie bureaucratique, les instances se mettent en branle. L’IGPN, cette institution que l’on imagine presque théorique, a été saisie. Peut-être qu’au sommet de cette pyramide administrative, quelqu’un finira par reconnaître l'absurdité de la situation.
Mais pour l’instant, Hervé Street et ses voisins sont seuls, face à des amendes injustifiées qui continuent de pleuvoir. "Pourquoi elle nous verbalise ?" Cette question, lancinante, semble se perdre dans le vide.

 

Un problème qui s’étend

Car ce n’est pas seulement l’histoire d’un homme contre une machine. Cette situation est partagée par plusieurs voisins, pris dans la même nasse, face au même agent verbalisateur.
Comme dans une mauvaise pièce de théâtre, les amendes s’accumulent, les montants varient, mais la signature reste la même.
Une sorte de signature invisible du pouvoir, celle qui ne s’explique pas mais s’impose. 

 

La loi du silence

Face à cette situation qui frôle l’absurde, Hervé Street fait ce qu’il peut. Avec son avocat, maître Aurélien Olivier, il tente d'obtenir des réponses.
Mais là encore, la machine judiciaire semble aussi lente que froide. Des enquêtes sont lancées, mais elles prennent du temps. Trop de temps.
Pendant ce temps, la vie d'Hervé continue de s'effriter, centimètre après centimètre, contravention après contravention.

 

L’issue incertaine

Le 18 septembre dernier, Hervé a été convoqué pour une vingtaine de ces contraventions.
Le ministère public a fini par en classer une partie sans suite, mais cela ne met pas fin à cette spirale infernale.
Le dossier est renvoyé en novembre, comme si tout cela ne devait jamais finir. 

Comme si le sort d’un homme pouvait être suspendu aux caprices de la bureaucratie, à l’insensibilité d’une machine qui écrase tout sur son passage.  

Et vous, que feriez-vous dans une telle situation ? Donnez votre avis en laissant un commentaire en cliquant sur le lien ci-dessous.

Sources : BFMTV

Vallauris : Cyril Hanouna révèle que la mère du motard qui a tué Kamilya a écrit au papa de la petite fille pour lui demander de cesser de menacer son fils

 Kamilya

Vallauris : La mère du motard responsable de la mort de Kamilya supplie le père d’arrêter les menaces

Un échange troublant dévoilé par Cyril Hanouna met en lumière un nouveau chapitre de l’affaire Kamilya, entre harcèlement, douleur et drame...On est bien chez les fous et on marche vraiment...en effet...sur la tête !

Cyril Hanouna a révélé vendredi 20 septembre, lors de son émission Touche pas à mon poste, (TPMP) un détail poignant de l’affaire Kamilya : la mère du motard responsable de la mort de la fillette a écrit une lettre au père de la petite victime.
Une lettre où elle lui demande d’arrêter de menacer son fils.
Ironie mordante, c’est à peine quelques heures avant que le père de Kamilya, lui-même, suppliait publiquement que l’on cesse de harceler le motard, appelant au respect de la justice.

 

Les menaces : qui harcèle qui ?

Dans cette correspondance troublante, la mère du motard affirme que "les seules menaces que reçoit son fils" proviennent du père de Kamilya.
Un retournement inattendu dans cette affaire, qui semble dessiner une ambiance délétère à Vallauris, où le drame pèse lourd sur les esprits et exacerbe les tensions. 

 

Un drame qui divise

Pour rappel, le 29 août dernier, Kamilya, âgée de 7 ans, a été tragiquement fauchée par une moto conduite par Matteo B. Depuis, la ville de Vallauris, déjà engourdie par la chaleur du sud, semble se réveiller chaque jour dans un climat de reproches croisés.
Des images de vidéosurveillance, récemment dévoilées par BFMTV, viennent troubler la version du motard sur ce qu’il s’est vraiment passé.

 

Les images ne mentent pas

Sur les vidéos, on observe clairement la moto de Matteo B. se lever, la roue avant se cabrant, signe que l’accident n'était pas si accidentel. "Le feu de la moto n'est plus visible", indiquent les enquêteurs, confirmant que le jeune homme a manœuvré sa machine pour tenter de la garder sous contrôle. Mais il était trop tard.
Dans cette affaire, chaque détail semble piéger encore davantage le motard dans une spirale de responsabilités qu'il tente difficilement de fuir.

 

La justice, ou une chimère ?

Lors de son audience du 10 septembre, Matteo B. a affirmé que la roue de sa moto s’était levée "involontairement". Une défense peu convaincante face aux images accablantes. 

Dans cette affaire, où la douleur des parents se mêle à la pression sociale et médiatique, la question reste la même : peut-on encore croire en la justice lorsque l’émotion publique dicte le jugement ?  

Laissez un commentaire ci-dessous pour partager votre avis sur cette affaire qui bouleverse Vallauris.

dimanche 8 septembre 2024

La Plainte de Cyril Hanouna contre l’Arcom : un conflit Juridique et Médiatique

arcom hanouna

Hanouna vs Arcom : la Bataille pour la TNT et la Liberté d’Expression

Un Conflit Ancré dans la Controverse...
Depuis plusieurs années, Cyril Hanouna et son émission "Touche Pas à Mon Poste" (TPMP) ont été les protagonistes d’un feuilleton médiatique où l’excès est devenu la norme. C8, la chaîne qui les diffuse, est régulièrement assiégée par les sanctions infligées par l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom). 

Les reproches sont multiples : propos insultants, publicité clandestine, et diffusion de fausses informations.
Une série de dérapages qui, en dépit de leur constance, semblent avoir pris les allures d'un combat de titans entre un média déroutant et un régulateur désenchanté.

Les sanctions de l’Arcom : une sentence chiffrée

L'Arcom, dans sa rigueur bureaucratique, a imposé à C8 des amendes totalisant 7,6 millions d’euros, une somme qui, loin d'être anodine, illustre l'ampleur des infractions reprochées.

En juillet 2024, l’organe de régulation a tranché avec une décision de portée historique : ne pas renouveler la fréquence TNT de C8. Ainsi, à partir de mars 2025, la chaîne sera exclue de la télévision numérique terrestre.
Cette décision se veut une réponse à la prétendue défaillance de C8 à respecter les obligations de régulation, tout en prônant une garantie, si fragile, de pluralisme médiatique.

 

Hanouna : la réaction d’un hHomme en colère

Face à cette sentence, Cyril Hanouna, dans un élan de rébellion, a annoncé son intention de porter plainte contre l'Arcom.
Pour lui, ces sanctions répétées ne sont rien de moins qu’un acte de harcèlement, un "délit de faciès" orchestré pour l’empêcher de continuer son travail. Hanouna, armé d'un dossier de trente-cinq pages, se présente en victime d'un système qu'il accuse d'exercer une pression insupportable et d'alimenter une haine virulente à son encontre sur les réseaux sociaux.

 

Les accusations de harcèlement : une victimisation stratégique

Hanouna, dans sa quête d’un soutien populaire, se pose en cible d’un harcèlement institutionnel.
Il décrit les sanctions comme un catalyseur de messages de haine, perturbant ainsi sa santé mentale et son avenir professionnel. L'animateur ne se contente pas de critiquer l'Arcom ; il dénonce un complot visant à le détruire, ajoutant une dimension personnelle à ce conflit de régulation, comme si le combat était devenu une tragédie individuelle en plus d'une bataille médiatique.

 

Conséquences et avenues de réparation

Malgré la décision implacable de l'Arcom, la chaîne C8 n’a pas encore signé son acte de décès.
Hanouna et son équipe, animés par une volonté farouche, envisagent de porter l’affaire devant les juridictions compétentes, espérant ainsi renverser le verdict. 

De plus, la chaîne pourrait essayer de prouver sa bonne foi en mettant en œuvre des réformes, telles que la diffusion en différé de certaines émissions, dans une tentative désespérée de conserver sa place sur la TNT.

Conclusion : une réflexion sur la régulation et la Liberté

L’affaire entre Cyril Hanouna et l’Arcom est révélatrice des frictions entre régulation médiatique et liberté d'expression.
Tandis que l'avenir de C8 sur la TNT demeure incertain, le conflit met en lumière les dysfonctionnements d’un système régulateur rigide et les défis d'une liberté d'expression mise à mal.

Ce drame audiovisuel, où se mêlent enjeux juridiques et médiatiques, promet de laisser des cicatrices profondes sur le paysage télévisuel français. 

LIRE AUSSI : C8 vs Arcom : la bataille pour la TNT et la Liberté d’Expression

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)