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Affichage des articles associés au libellé immigration

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La députée Insoumise, Erislia Soudais, va soutenir pendant sa garde à vue Elias d'Imzalene qui avait déclaré vouloir "mener l'Intifada à Paris" lors d'un rassemblement pro-palestinien

Garde à vue et Intifada : L'écho troublant de l'engagement militant Erisilia Soudais défend Elias d'Imzalene, l’influenceur sous le poids des mots lors d'une manifestation pro-palestinienne à Paris   Un appel à la violence La députée Insoumise, Erisilia Soudais, se retrouve plongée dans la tourmente de la société contemporaine, où les mots peuvent se transformer en armes redoutables.  Elias d'Imzalene, cet influenceur de 29 ans, a ébranlé les esprits le 8 septembre dernier, lorsqu’il a clamé, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris, qu’il souhaitait "mener l’Intifada à Paris" .  Une déclaration qui résonne comme un cri de ralliement pour certains, mais qui, pour d’autres, constitue une provocation inacceptable. Des conséquences judiciaires Ce dernier, animateur du site Islam & Info et membre de l’association islamiste Perspectives musulmanes, a été placé en garde à vue suite à ses déclarations. Une enquête a été ouverte pour « provocatio

Nouvelle prise de position : Lucie Castets milite pour la régularisation massive des sans-papiers

Lucie Castets et la Régularisation Massive des Sans-Papiers : Entre Conviction et Hésitation Dans une France obsédée par le contrôle, Lucie Castets s’affirme en faveur de la régularisation totale des sans-papiers, un geste à la fois humanitaire et pragmatique. Mais derrière cette certitude, des zones d'ombre subsistent, révélatrices des contradictions d'une gauche divisée.   Une société qui vit dans l'ombre Lucie Castets, économiste renommée et candidate au poste de Première ministre du Nouveau Front populaire (NFP), se tient là où peu osent encore s’aventurer : la défense inconditionnelle de ceux que la République préfère ignorer. Lors de son passage sur BFMTV, le mardi 24 septembre , elle a exprimé son soutien sans ambiguïté à la régularisation de tous les sans-papiers, qu’ils aient ou non un emploi.   « Les migrants sont stigmatisés en permanence, alors qu’ils contribuent au fonctionnement de la société, payent des impôts », a-t-elle déclaré. Dans un pays qui se resse

Éric Zemmour accuse SOS Méditerranée de complicité avec les passeurs et exige sa dissolution immédiate

Éric Zemmour exige la dissolution de SOS Méditerranée, dénonçant une « complicité » avec les passeurs Le président de Reconquête appelle Bruno Retailleau à agir immédiatement contre l'ONG, l'accusant de mettre en danger la vie des Français Une demande immédiate adressée à Bruno Retailleau C’est à peine que Bruno Retailleau a posé ses valises au ministère de l’Intérieur qu’Éric Zemmour, fidèle à ses obsessions, lui a adressé une requête sans ambiguïté.  Sur X (anciennement Twitter), le 23 septembre, il a exigé la dissolution de SOS Méditerranée, cette ONG qu’il considère comme complice d’un « délit ». Dans le chaos de la société moderne, Zemmour semble voir partout des menaces, des forces invisibles qui agiraient pour désintégrer l’ordre national. SOS Méditerranée, une menace déguisée ? « SOS Méditerranée est complice des passeurs de migrants », accuse Zemmour sans détour. L’ONG ne serait plus seulement un organisme humanitaire, mais bien un acteur actif dans la mise en pé

Bastia : Tensions autour de l'accueil de SOS Méditerranée, la Corse refuse de devenir Lampedusa

  Bastia : SOS Méditerranée face à la tempête, la Corse refuse de devenir Lampedusa La polémique enfle autour de l'accueil de l'ONG en Corse, illustrant les tensions sur l'immigration. Un réseau de bénévoles sous tension Au cœur de la tempête méditerranéenne, l'ONG SOS Méditerranée a jeté l’ancre à Bastia pour y développer un premier réseau de bénévoles. Les dates, les 22 et 23 septembre, marquent une escale qui aurait dû être une fête de l'humanité, mais qui s’est rapidement transformée en champ de bataille verbal, nourri par des réactions politiques virulentes et des échanges enflammés sur les réseaux sociaux.   Réactions d'un mouvement identitaire Nicolas Battini, président du mouvement identitaire Mossa Palatina, n’a pas mâché ses mots. Sur X, il a clamé son opposition, fustigeant l'ONG pour son prétendu rôle dans un trafic d’êtres humains. La Corse, a-t-il insisté, ne sera jamais une petite Lampedusa : « Nous ferons tout pour marginaliser son ac

Pays Basque : Afflux de migrants à la frontière franco-espagnole malgré les contrôles policiers renforcés

  Pays Basque : L’inexorable afflux de migrants à la frontière franco-espagnole Une lutte vaine contre un phénomène migratoire incontrôlable   Une frontière sous tension Dans le Pays basque, un paradoxe se dessine : malgré les efforts acharnés des autorités, des milliers de passages irréguliers persistent chaque année. La police française, scrutant avec rigueur le pont de Béhobie, semble pourtant n’être qu’un embouteillage temporaire dans le cours chaotique des vies en quête de refuge. Plus de 5.000 migrants , selon les associations, franchissent cette barrière chaque année, témoignage d’une réalité qui dépasse les discours.   Des stratégies de contournement « Ils profitent de nos relèves pour passer », déclare Patrick Peyruqueou sur CNews , porte-parole d’un syndicat local, avec une lassitude palpable. L’échange d’informations entre migrants agit comme un fil invisible, leur permettant d’exploiter les failles d’un système. Ils tentent, échouent, mais persévèrent. L’échec n’est qu

« Toujours plus de migrants » : la subvention de 130 000 euros à SOS Méditerranée crée la controverse au conseil municipal de marseille

  La subvention à SOS Méditerranée : un affrontement idéologique à marseille 130 000 euros pour les migrants : la polémique au conseil municipal L'électrochoc du conseil municipal Le conseil municipal de Marseille, ce vendredi 20 septembre, s’est transformé en une arène politique, où les tensions se cristallisent autour d’une somme, 130 000 euros, attribuée à une ONG . Loin d’être une simple question budgétaire, cette décision réveille des passions, des rancœurs, des discours déjà bien rodés.  Benoît Payan, le maire divers gauche, ne craint pas d'affronter le sujet épineux des migrants, sujet qui, comme une plaie ouverte, refuse de se cicatriser.   La droite en furie La proposition, en apparence innocente, a provoqué un scandale immédiat. « Vous voulez toujours plus de migrants », tonne Bernard Marandat, élu du Rassemblement national, comme si chaque mot était une arme. La majorité de gauche, agacée, répond par des répliques cinglantes, révélant l'angoisse d'une ba

On est vraiment chez les fous : une propriétaire piégée par l'occupation illégale de son immeuble sur Montreuil

  L’inertie de l'État face à la dépossession d'une vie Une Propriété enlisée dans l’oubli Caroline Imerzoukene , propriétaire d'un immeuble à Montreuil, n'avait pas imaginé que son rêve immobilier se transformerait en une longue descente aux enfers. Une histoire folle qui va vous prouver encore une fois que notre blog de fous est légitime dans ce pays où on marche sur la tête. On est chez les dingues et vous ne pourrez pas dire le contraire après avoir lu ce récits incroyable qui fait l'actu cette semaine ! Depuis deux ans, une cinquantaine de sans-papiers ont envahi son bien , forçant son existence dans une spirale de désespoir. Dans ce coin de Seine-Saint-Denis, la loi semble avoir perdu son emprise. Le tribunal a bien ordonné leur expulsion, mais cette décision reste lettre morte. Le préfet, en sa grandeur bureaucratique, s'enlise dans une inertie silencieuse, laissant Me Imerzoukene seule face à ce que certains appellent une simple "affaire sociale&quo

Villeneuve-le-Roi : le maire dénonce l'inaction face à un migrant multirécidiviste relâché après des tags antisémites et 10 condamnations

  La révolte silencieuse d’un maire face à l'inefficacité des OQTF : "Un migrant multirécidiviste relâché, la ville sous tension" Villeneuve-le-Roi : une ville piégée par l’impuissance administrative Didier Gonzales, maire de Villeneuve-le-Roi, une petite commune du Val-de-Marne, est au bord de l’exaspération. Ce matin, sur le plateau de "Morandini Live" sur CNews , il a exprimé un ras-le-bol qui ne surprend plus grand monde, tant il semble devenu symptomatique d’un malaise national.  "Depuis six mois, une quinzaine de personnes sous Obligation de quitter le territoire français (OQTF) sèment le trouble dans toute la ville. On les voit sur les caméras de surveillance, on les arrête, on les amène au commissariat, mais ils sont relâchés aussitôt", déclare-t-il, le regard vide, comme celui d’un homme qui ne croit plus à l’efficacité de l’État.  Ce n’est plus seulement une question de sécurité publique, mais bien de l’incapacité totale à protéger les cito

Tardinghen (Pas-de-Calais) : Trois chasseurs et un enfant de 3 ans attaqués par une soixantaine de migrants – voitures vandalisées, biens volés, et un canard décapité.

  Tardinghen (Pas-de-Calais) : Nuit de terreur pour trois chasseurs et un enfant, agressés par une soixantaine de migrants déchaînés – voitures détruites, biens pillés, et un canard sauvagement décapité. Un guet-apens sous le ciel lourd de la Côte d'Opale révélè par France3 Region Dans cette nuit du 14 au 15 septembre 2024, aux environ de 4 heures du matin et sous le ciel humide de Tardinghen, la violence s’est invitée sans crier gare. Trois hommes, chasseurs solitaires traquant le gibier dans la brume du marais, partageaient l’intimité froide de leur hutte avec un enfant de trois ans, inconscient des ténèbres qui allaient bientôt s’abattre sur eux.  Rien dans ce paysage tranquille n’annonçait l’arrivée de cette meute d’âmes enragées, une dizaine de migrants dans un premier temps, aux visages marqués par l’échec de leur exil . Quand ils ont surgit des ombres, ce fut comme l'éruption d'une violence muette, une haine enfouie sous des couches de misère, prête à déchirer tout

Contrôles aux frontières en Allemagne : à Nice, les riverains partagés entre sécurité et liberté

  Contrôle aux frontières en Allemagne : une illusion de sécurité qui séduit les riverains de Nice, entre peur et résignation  À partir de lundi, l' Allemagne mettra en place des contrôles renforcés à ses frontières , une décision qui, à Nice, réveille des réflexes de protection et de fermeture.   Les habitants, situés à quelques kilomètres de l'Italie, applaudissent discrètement une mesure qui semble refléter une angoisse partagée. Mais au-delà des mots rassurants, se dessine la trame d'une société qui ne sait plus très bien de quoi elle a peur . L'Allemagne renforce ses frontières : une réponse sécuritaire face à l'immigration illégale L'Allemagne, ce lundi, va réinstaurer des contrôles à ses frontières. Un retour en arrière pour un pays membre de l’espace Schengen, un symbole frappant de la fragilité d'une Europe sans frontières.  La cause officielle : freiner l’immigration clandestine, renforcer la sécurité après l'attentat de Solingen le 23 août d

Retour des contrôles aux frontières en Allemagne lundi 16 septembre : entre sécurité illusoire et liberté compromise

  Allemagne : le retour des contrôles aux frontières dès le 16 septembre 2024, une illusion de sécurité pour les transfrontaliers français  Le 16 septembre 2024, l'Allemagne rétablira temporairement des contrôles à toutes ses frontières.  Officiellement, la mesure est présentée comme une réponse à l'immigration illégale, mais en réalité, elle révèle surtout une société en proie à ses propres peurs . Pour les Français travaillant de l'autre côté de la frontière, cette décision symbolise bien plus que des contrôles policiers ; elle incarne la lente agonie d'une Europe qui croyait pouvoir abolir ses frontières. Un retour des contrôles : entre cynisme politique et illusion sécuritaire L’Allemagne, par cette décision de rétablir les contrôles à ses frontières pour six mois, ne fait qu'amplifier une tendance de plus en plus ancrée en Europe : celle de la fermeture progressive des frontières sous prétexte de sécurité.   Bien sûr, ce n’est pas la première fois que cela a

77% des Français favorables au rétablissement des contrôles aux frontières

  77% des Français souhaitent le rétablissement des contrôles aux frontières : entre illusion sécuritaire et repli identitaire  Le sondage ne surprend personne.  Dans une France fatiguée par des décennies de promesses politiques vaines, où la question de la sécurité est devenue un point névralgique de toutes les campagnes électorales, il n’est guère étonnant que 77% des Français soient favorables au rétablissement des contrôles aux frontières .  Ce chiffre, tiré d’un sondage CSA pour CNEWS, le JDD et Europe 1 , publié le 15 septembre, est plus le symptôme d'une société en déclin que d'une véritable solution.   Une réponse sécuritaire face à l’incertitude L’Allemagne, dont l’annonce du rétablissement des contrôles frontaliers dès le 16 septembre a fait écho dans toute l’Europe, justifie cette décision par la lutte contre l’immigration illégale.  Mais derrière ce geste, que l'on tente de présenter comme un effort pragmatique, se cache une réalité beaucoup plus sombre. Ce n

CNews lance un sondage sur la création d’un ministère de l’Immigration. Est-ce une solution ?

  CNews relance le débat : Un ministère de l’Immigration comme solution ? Un sondage opportun dans un climat anxiogène Le 13 septembre 2024, CNews, toujours en quête de sujets polémiques, a mis en ligne un sondage simple, presque naïf dans sa formulation , mais chargé d’une intensité politique inégalée : « Faut-il créer un ministère de l’Immigration ? ».  La question, posée ainsi, plonge immédiatement dans l’abîme des tensions sociales qui lacèrent la France depuis des années.  Une réponse immédiate s’impose : actuellement (le 14/09 à 7 heures) 62 % des participants, la majorité silencieuse qui murmure souvent dans l’ombre, se déclarent favorables à cette création, tandis que 38 % s’y opposent.   Ce sondage, au-delà des chiffres, traduit la fracture indélébile dans le corps social, où l’immigration n’est plus simplement un sujet de débat, mais une plaie ouverte qui refuse de cicatriser.  Retour sur une histoire de contrôle et de rejet L’idée d’un ministère de l’Immigration n’a rien

Le Royaume-Uni impose un visa obligatoire pour tous les voyageurs européens à partir de 2025

  Un visa numérique imposé pour les voyages au Royaume-Uni à partir de 2025 : la fin de la libre circulation européenne ?  Entre bureaucratie et désir de contrôle, la Grande-Bretagne s’enferme dans sa forteresse insulaire Le Brexit n’était qu’un début : les nouvelles exigences d’entrée Le Royaume-Uni semble avoir trouvé une nouvelle manière de rappeler au continent qu’il est désormais une île. Après le Brexit, il fallait déjà se munir d’un passeport pour traverser la Manche. Mais ce n'était pas suffisant.  À partir de 2025, l’accès sera encore plus restreint : il faudra payer pour entrer. Un visa numérique, nommé ETA, pour "Electronic Travel Authorisation" (à ne pas confondre avec Euskadi ta Askatasuna, plus connu sous son acronyme ETA, qui est une organisation terroriste basque indépendantiste d'inspiration marxiste-léniniste active du 31 juillet 1959 au 2 mai 2018) , viendra s’ajouter au passeport, imposant une nouvelle barrière invisible mais bien réelle entre

Normandie : 34 migrants clandestins découverts dans un bois, l'ombre des frontières invisibles

  Normandie : Migrants clandestins dans les bois, l'Europe à la dérive... La découverte d'un groupe en transit. Dans une Normandie qui se voudrait paisible, à l’écart du tumulte du monde, un groupe de 34 migrants clandestins est découvert ce samedi 7 septembre, caché dans un bois de Maulévrier-Sainte-Gertrude, entre Rouen et Le Havre.  Un signalement, une intervention rapide de la gendarmerie, et ces hommes et femmes en transit sont pris en charge. Ils ne nécessitent pas de soins médicaux, nous précise la préfecture de Seine-Maritime dans un communiqué lapidaire sur X/Twitter, comme s’il fallait rassurer le public inquiet.  Rien de grave, juste des corps en attente, des vies suspendues entre deux mondes. Un examen administratif impitoyable Les autorités, méthodiques, entreprennent un examen des situations individuelles de ces migrants pour déterminer la suite à donner. Le préfet, d’un ton qui se veut ferme, rappelle que la justice ne plaisante pas. À Dieppe, récemment, sept c

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)