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Garde à vue et Intifada : L'écho troublant de l'engagement militant Erisilia Soudais défend Elias d'Imzalene, l’influenceur sous le poids des mots lors d'une manifestation pro-palestinienne à Paris   Un appel à la violence La députée Insoumise, Erisilia Soudais, se retrouve plongée dans la tourmente de la société contemporaine, où les mots peuvent se transformer en armes redoutables.  Elias d'Imzalene, cet influenceur de 29 ans, a ébranlé les esprits le 8 septembre dernier, lorsqu’il a clamé, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris, qu’il souhaitait "mener l’Intifada à Paris" .  Une déclaration qui résonne comme un cri de ralliement pour certains, mais qui, pour d’autres, constitue une provocation inacceptable. Des conséquences judiciaires Ce dernier, animateur du site Islam & Info et membre de l’association islamiste Perspectives musulmanes, a été placé en garde à vue suite à ses déclarations. Une enquête a été ouverte pour « provocatio

En 2025, la France lancera deux satellites de guerre dans l'espace...

 

Deux satellites français de guerre : la France à la conquête de l'espace

La France se lance dans la bataille spatiale avec le projet Toutatis


Alors que le monde assiste à une compétition spatiale effrénée, la France ne peut se permettre de demeurer dans l’ombre des géants. En 2025, deux satellites de guerre seront propulsés dans l'espace, témoignant d'une volonté d'affirmer sa présence sur la scène internationale.
Un acte que l’on pourrait qualifier d’audacieux, mais qui s’inscrit dans un contexte où la guerre ne se limite plus aux champs de bataille traditionnels.

 

Le projet Toutatis : un pas vers l'avant

Dans le cadre du projet Toutatis, l’armée française se positionne pour manœuvrer en orbite basse, conjurant ainsi les menaces potentielles.
Le Commandement de l’Espace et l’Agence pour l’Innovation de Défense (AID) orchestrent des initiatives visant à protéger les infrastructures spatiales stratégiques.

Dans un monde où la surveillance et la défense sont primordiales, ces satellites visent à préserver les intérêts français tout en surveillant de près les mouvements des adversaires.

Technologie de pointe et stratégie défensive

Le projet se compose de deux satellites, Lisa-1, destiné à l'observation, et Splinter, conçu pour l'intervention. Le premier permet d'anticiper les comportements suspects, tandis que le second, avec son laser dissuasif, a pour mission d'aveugler les capteurs ennemis, laissant ainsi une marge de manœuvre stratégique. 

Une approche à la fois sophistiquée et inquiétante, où la technologie devient un nouvel instrument de pouvoir.

Une ambition internationale

La France, avec ce lancement programmé pour 2025 ou 2026, aspire à devenir un leader incontesté dans le domaine spatial.
Capable de gérer une vingtaine de scénarios potentiels, elle souhaite se donner les moyens d’agir en temps réel, tout en fournissant aux forces armées au sol des renseignements précieux. 

Une vision qui, derrière l’optimisme, soulève également des questions sur les enjeux éthiques d'une militarisation croissante de l’espace.  

Que pensez-vous de cette nouvelle étape dans la guerre spatiale ? Vos réflexions comptent, partagez-les en commentaire ci-dessous.

Sources: Armees.com

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Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)