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La députée Insoumise, Erislia Soudais, va soutenir pendant sa garde à vue Elias d'Imzalene qui avait déclaré vouloir "mener l'Intifada à Paris" lors d'un rassemblement pro-palestinien

Garde à vue et Intifada : L'écho troublant de l'engagement militant Erisilia Soudais défend Elias d'Imzalene, l’influenceur sous le poids des mots lors d'une manifestation pro-palestinienne à Paris   Un appel à la violence La députée Insoumise, Erisilia Soudais, se retrouve plongée dans la tourmente de la société contemporaine, où les mots peuvent se transformer en armes redoutables.  Elias d'Imzalene, cet influenceur de 29 ans, a ébranlé les esprits le 8 septembre dernier, lorsqu’il a clamé, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris, qu’il souhaitait "mener l’Intifada à Paris" .  Une déclaration qui résonne comme un cri de ralliement pour certains, mais qui, pour d’autres, constitue une provocation inacceptable. Des conséquences judiciaires Ce dernier, animateur du site Islam & Info et membre de l’association islamiste Perspectives musulmanes, a été placé en garde à vue suite à ses déclarations. Une enquête a été ouverte pour « provocatio

L'Abbé Pierre accusé d'agressions sexuelles : le pape François admet la connaissance du Vatican

    L'Abbé Pierre accusé d'agressions sexuelles : le  Vatican savait-il vraiment ? Une vérité gênante révélée par le pape François Une figure déchue : entre la sainteté et le péché De retour d’Asie, le pape François, avec cette froideur lucide qui caractérise son pontificat, a déchiré l’image d’un homme autrefois intouchable.  L'Abbé Pierre, longtemps célébré comme l'incarnation même de la charité chrétienne, est aujourd’hui un homme rattrapé par l’ombre de ses propres démons . « Un véritable pécheur, » a déclaré le pontife, en pesant chaque mot, comme pour souligner l’ironie tragique de ce constat.  Il y a chez l’homme une dualité sordide : capable de faire tant de bien et pourtant coupable de crimes aussi terribles que les violences sexuelles.  Cette révélation n’a pas surgi du néant. Selon les mots du pape lui-même, le Vatican savait, ou du moins « après sa mort » en 2007, que l'Abbé Pierre était sous le coup de telles accusations. Mais qu’avait-il été fait ? R

Scandale au sommet : la fondation Abbé Pierre sous le poids de révélations accablantes...

La fondation Abbé Pierre change de nom dans une tornade de scandale Sept semaines après les premières révélations, l'Abbé Pierre est à nouveau sous les feux de la rampe, cette fois pour 17 nouvelles accusations de violences sexuelles.  Ces témoignages, révélés par le cabinet spécialisé Egaé, évoquent des actes odieux commis sur plusieurs décennies, des années 1950 aux années 2000. Loin d’être une simple affaire de mœurs, ces révélations touchent à l’essence même de la Fondation Abbé Pierre. Le poids écrasant des accusations Le rapport du groupe Egaé est accablant : "À ce jour, il est possible d'identifier au moins 17 personnes supplémentaires ayant subi des violences de la part" du prêtre décédé en 2007. Les accusations vont au-delà des simples contacts non sollicités ou des baisers forcés. Des actes de pénétration sexuelle sur des adultes vulnérables, des comportements répréhensibles sur des enfants… les détails sont glaçants. Une décision radicale en réponse à l’ind

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)