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La députée Insoumise, Erislia Soudais, va soutenir pendant sa garde à vue Elias d'Imzalene qui avait déclaré vouloir "mener l'Intifada à Paris" lors d'un rassemblement pro-palestinien

Garde à vue et Intifada : L'écho troublant de l'engagement militant Erisilia Soudais défend Elias d'Imzalene, l’influenceur sous le poids des mots lors d'une manifestation pro-palestinienne à Paris   Un appel à la violence La députée Insoumise, Erisilia Soudais, se retrouve plongée dans la tourmente de la société contemporaine, où les mots peuvent se transformer en armes redoutables.  Elias d'Imzalene, cet influenceur de 29 ans, a ébranlé les esprits le 8 septembre dernier, lorsqu’il a clamé, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris, qu’il souhaitait "mener l’Intifada à Paris" .  Une déclaration qui résonne comme un cri de ralliement pour certains, mais qui, pour d’autres, constitue une provocation inacceptable. Des conséquences judiciaires Ce dernier, animateur du site Islam & Info et membre de l’association islamiste Perspectives musulmanes, a été placé en garde à vue suite à ses déclarations. Une enquête a été ouverte pour « provocatio...

Les nouveaux coupables du Covid-19 : La piste du pangolin écartée au profit de deux autres animaux...

 

Le Pangolin acquitté : une nouvelle piste animale à l'origine du Covid-19

Une Innocence Retrouvée pour le Pangolin

Le pangolin, longtemps érigé au rang de coupable idéal, traîne derrière lui la rumeur de sa responsabilité dans la pandémie mondiale.
Et pourtant, une nouvelle vérité émerge.
Un revirement inattendu s'opère : l'animal si décrié, martyr d'une hystérie collective, serait hors de cause.
C’est ce qu’affirme une étude internationale publiée dans la revue scientifique Cell le 19 septembre, menée par une équipe du CNRS.
Les coupables désignés ? Deux nouveaux suspects animaliers : la civette et le chien viverrin.

Le Marché de Wuhan : épicentre d'une tragédie

Le marché de Huanan à Wuhan, là où tout a commencé, a été le théâtre de la propagation d'un mal indicible. Selon l’étude, les civettes et les chiens viverrins, dont la présence en ce lieu a été confirmée fin 2019, pourraient avoir été les véritables vecteurs du virus

Les chercheurs ont prélevé des échantillons génétiques sur les stands après la fermeture du marché le 1er janvier 2020. Un constat glaçant s’impose : l'ADN du Sars-CoV-2 se mêlait à celui de ces espèces, comme un avertissement morbide inscrit dans les gènes.

Des espèces déjà liées à d'autres pandémies

La civette et le chien viverrin ne sont pas des inconnus dans le paysage des zoonoses. Ils avaient déjà joué un rôle dans l'émergence du Sars en 2002, créant un précédent inquiétant. Leur capacité à faciliter la transmission du virus à l’homme est maintenant établie, révélant une mécanique implacable où l'homme n'est plus qu'une victime parmi tant d'autres dans un cycle qui le dépasse. Le mystère de l'origine du Covid-19, qui obsède le monde entier, semble s'éclaircir, laissant en arrière l’ombre du pangolin, injustement accusé.

Une pandémie provoquée par la nature sauvage

Les résultats de cette enquête scientifique appuient l’idée que la pandémie n’est pas un accident industriel, mais bien une conséquence inévitable des interactions entre l’homme et la faune sauvage. 

La cohabitation avec ces espèces infectées, présentes sur le marché à la fin 2019, aurait déclenché la tragédie mondiale que nous connaissons. Une tragédie qui, malgré les avancées de la science, laisse toujours planer une menace invisible.

Cliquez ci-dessous pour partager votre point de vue, vos interrogations ou simplement pour vous plonger dans les réflexions sombres que cette enquête suscite. Vos commentaires sont précieux.

Commentaires

  1. Au final ça restera toujours l'humain le responsable de cette saloperie...

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Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)