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La députée Insoumise, Erislia Soudais, va soutenir pendant sa garde à vue Elias d'Imzalene qui avait déclaré vouloir "mener l'Intifada à Paris" lors d'un rassemblement pro-palestinien

Garde à vue et Intifada : L'écho troublant de l'engagement militant Erisilia Soudais défend Elias d'Imzalene, l’influenceur sous le poids des mots lors d'une manifestation pro-palestinienne à Paris   Un appel à la violence La députée Insoumise, Erisilia Soudais, se retrouve plongée dans la tourmente de la société contemporaine, où les mots peuvent se transformer en armes redoutables.  Elias d'Imzalene, cet influenceur de 29 ans, a ébranlé les esprits le 8 septembre dernier, lorsqu’il a clamé, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris, qu’il souhaitait "mener l’Intifada à Paris" .  Une déclaration qui résonne comme un cri de ralliement pour certains, mais qui, pour d’autres, constitue une provocation inacceptable. Des conséquences judiciaires Ce dernier, animateur du site Islam & Info et membre de l’association islamiste Perspectives musulmanes, a été placé en garde à vue suite à ses déclarations. Une enquête a été ouverte pour « provocatio

Deux enfants de 4 ans échappent à la surveillance d’un centre de loisirs, retrouvés par la police au milieu d’un rond-point

Yvelines : L’évasion improbable de deux enfants de 4 ans d’un centre de loisirs À Élancourt, deux enfants de 4 ans échappent à la vigilance du centre Jean-Monnet et sont retrouvés errant dans un rond-point. Un couple d’automobilistes témoins de l’absurde Ce mercredi 11 septembre, vers 15h, deux enfants de 4 ans, élèves au centre de loisirs Jean-Monnet d'Élancourt, ont réussi à s’échapper. Personne ne s’attendait à ce que deux bambins, à peine capables de lacer leurs chaussures, puissent fausser compagnie à des adultes supposés les surveiller.  Leur fugue, sans véritable but, s’est interrompue au milieu d’un rond-point bondé. C’est là qu’un couple d’automobilistes, figé d’incrédulité, les aperçoit et alerte la police.   On pourrait en rire si cela n’était pas aussi symptomatique d’une défaillance plus large. La promenade improvisée Ce n’est qu’après coup que l’on comprend l’étrangeté du récit : deux enfants de 4 ans, en pleine après-midi, décident de quitter le centre de loisi

La mère de Jean, 11 ans, victime de violence en colonie de vacances, retire sa plainte face aux menaces : "Je n'ai jamais voulu cela !"

  La tragédie de Jean : Quand la colonie de vacances devenait un enfer Une mère face à l'angoisse et à l'absurde : le retrait de plainte après des menaces de mort   Le cri d'une mère Cécile Lemaire , mère de Jean, un enfant de 11 ans, s’est retrouvée projetée dans un cauchemar où la réalité surpasse l’horreur. Après avoir exposé, avec une naïveté tragique, les violences subies par son fils lors d'une colonie de vacances en Bretagne, elle retire finalement sa plainte .  "Je n'ai jamais voulu cela !" lance-t-elle, désespérée, tandis que des inconnus, armés de leur indignation, vont jusqu'à menacer de mort les animateurs, complices d'une tragédie qu'ils n'ont pas su prévenir . Le calvaire d’un enfant Jean, un enfant issu de la somnolente région de la Somme, a passé une semaine à l’écart du monde, censé être épanouissant. Mais ce qui devait être un voyage initiatique s’est rapidement mué en un véritable supplice.  Frappé et harcelé par tro

Deux adolescents se battent devant leur collège, l'un d'eux sort un pistolet et menace son camarade

  La violence ordinaire : un adolescent braque un pistolet sur son camarade devant un collège Une querelle banale dégénère en menace de mort devant un collège de Toulouse, plongeant le quotidien adolescent dans la violence absurde   Une confrontation qui vire au cauchemar Dans l'immobilité cruelle de la cour d'un collège de la Haute-Garonne, deux adolescents, le visage marqué par l'ennui et la haine inexpliquée, s'affrontent devant leurs camarades indifférents. Une querelle sans éclat, comme il en surgit des centaines chaque jour dans ces lieux où l'âme humaine s'étiole. Puis l'un des deux, un garçon de 13 ans, sort un pistolet , le pointant sans ciller sur la tête de son adversaire. La scène, filmée et diffusée sur les réseaux sociaux, fait de ce banal moment un événement insoutenable .   Un geste figé dans le vide La violence s'estompe parfois dans un silence froid, là où l'on attend le fracas des balles. Aucun coup de feu n'est tiré. Le ca

Fuite désespérée : un père laisse ses deux enfants derrière lui lors d’une course-poursuite à Rennes

  Fuite en avant : un père abandonne ses enfants pour échapper à la police à Rennes Un geste désespéré Dans le monde désenchanté de Rennes, un homme a pris une décision qui semble à la fois irrationnelle et tragique. Ce jeudi matin, pour éviter un contrôle de police, il a laissé derrière lui ses deux jeunes enfants, âgés de 3 et 4 ans, enfermés dans sa voiture. Ce scénario, à la fois banal et dérangeant, illustre la profonde déliquescence des rapports familiaux dans une société où l’individualisme l’emporte sur le devoir parental. Un contrôle qui tourne mal Les motards de la police nationale patrouillaient la rue Alexandre Duval lorsque, comme des chasseurs traquant leur proie, ils ont remarqué un véhicule dont le comportement soulevait des soupçons. Le conducteur, au lieu de céder à l’autorité, a choisi de précipiter sa fuite. Le refus d’obtempérer n’est pas une simple infraction ; c’est le symptôme d’une crise existentielle, d’un homme acculé à la folie. La course-poursuite Après

Meaux : un Baby-Sitter condamné pour drogue et agression sexuelle sur une Fillette de 8 ans

  Huit ans de Prison pour un Baby-Sitter coupable de drogue et d’agression Sexuelle sur une Fillette Une peine inévitable pour un monstre sur Meaux. Le tribunal de Meaux a tranché avec une rigueur implacable ce vendredi 6 septembre : huit ans de prison ferme pour un homme de 29 ans, jugé coupable d’avoir drogué, harcelé et agressé sexuellement une fillette de huit ans. Ce jugement, rendu après quatre heures d’échanges à huis clos et cinquante minutes de délibérations, reflète la gravité abyssale des faits. La peine est la réponse cinglante à l’inadmissible, une tentative de rendre justice dans un monde où l’innocence a été brutalement bafouée. Des Actes inqualifiables L’accusé a administré un somnifère à l’enfant avant de se livrer à des actes de perversité déconcertante : caresses inappropriées, enregistrements sexuels, et tentatives d’embrasser l’enfant. Cette série de comportements abjects a conduit les magistrats à dépasser la peine initialement requise de cinq ans, soulignant l

Un quinquagénaire condamné pour exhibitionnisme après avoir montré son sexe à plusieurs petites filles

  Exhibitionnisme : un an de prison avec sursis pour l’ex-agent d’entretien récidiviste d’une école privée bretonne C’est une affaire qui frappe par son absurdité. Un quinquagénaire, agent d’entretien dans une école privée à la Forêt-Fouesnant, a été condamné pour exhibitionnisme après avoir montré son sexe à plusieurs petites filles.  Le plus troublant, c’est qu’il avait déjà écopé d’une peine de prison ferme pour des faits similaires il y a vingt ans. Mais, comble de l’ineptie, cette condamnation avait mystérieusement disparu des archives judiciaires. Aujourd'hui, il est enfin inscrit au fichier des délinquants sexuels. Pourtant, l’inertie face à ses actes récents soulève des questions dérangeantes. La scène est d’une banalité révoltante : une mère en larmes raconte comment sa fillette de trois ans et demi, traumatisée, a désormais une phobie des toilettes de l’école. Entre octobre 2021 et mars 2022, l’homme, alors chargé du ménage, s’est permis de se montrer dans des circonstanc

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)