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jeudi 19 septembre 2024

Marseille : un enfant handicapé de 11 ans décède d'une crise cardiaque après une intimidation violente de son entourage familial

 

Marseille : Quand la violence et la terreur éteignent des étoiles innocentes : on est vraiment chez les fous...

Une tragédie éprouvante au cœur de Marseille

Le lundi 16 septembre, à Marseille, une tragédie d'une cruauté insupportable s'est déroulée dans le 14e arrondissement.
Un enfant de 11 ans, handicapé, a trouvé la mort dans des circonstances qui révèlent un climat de terreur quotidienne et de désespoir latent.
La crise cardiaque, fatale et silencieuse, qui l’a emporté, est survenue au sein de la résidence Jean-Jaurès, alors que les secours, malgré leur intervention, n'ont pu que constater l'irréversibilité du drame. 

Ce petit être, vulnérable à l’extrême, s'est effacé sous les coups de la peur et de l’intimidation.

Une sœur en révolte et une montée de violence

L'origine de ce désastre remonte à une banale altercation enfantine : la sœur de la victime, âgée de 13 ans, avait récemment brisé le vélo d’un adolescent du quartier.
Cet acte insignifiant, mais réprouvé, a déclenché une spirale de violence.
Des individus, galvanisés par une vengeance infondée, ont envahi le domicile familial. Ils ont proféré des menaces de mort et martelé la porte avec une agressivité féroce.
Cette invasion brutale, farouche et disproportionnée, a exacerbé une situation déjà critique.

 

Un épisode de terreur et une réaction fatale

Le choc psychologique infligé par ces menaces semble avoir été trop lourd pour le jeune garçon.
En proie à une crise cardiaque, il a succombé dans un silence cruel.
La connexion directe entre les menaces proférées et l'arrêt cardiaque demeure floue, mais le tableau de terreur dessiné par les événements laisse peu de place au doute sur l'impact dévastateur des intimidations. 

Les ambulances et les policiers, bien que présents en nombre, n'ont pu que constater l'issue tragique d'une journée marquée par la violence et l’inefficacité des secours.

Une mort injuste et des questions sans réponses

Ce drame met en lumière les failles béantes d'une société où la violence de rue et les règlements de comptes prennent des proportions inimaginables.
 

La mort de cet enfant handicapé, survenue dans un contexte de terreur générée par un conflit enfantin, interroge profondément sur la dégradation des valeurs et l'absence de compassion dans certains quartiers. 

L'ombre de la tragédie plane maintenant sur Marseille, laissant derrière elle un abîme de douleur et de questions sans réponse.

lundi 16 septembre 2024

Tardinghen (Pas-de-Calais) : Trois chasseurs et un enfant de 3 ans attaqués par une soixantaine de migrants – voitures vandalisées, biens volés, et un canard décapité.

 

Tardinghen (Pas-de-Calais) : Nuit de terreur pour trois chasseurs et un enfant, agressés par une soixantaine de migrants déchaînés – voitures détruites, biens pillés, et un canard sauvagement décapité.

Un guet-apens sous le ciel lourd de la Côte d'Opale révélè par France3 Region

Dans cette nuit du 14 au 15 septembre 2024, aux environ de 4 heures du matin et sous le ciel humide de Tardinghen, la violence s’est invitée sans crier gare. Trois hommes, chasseurs solitaires traquant le gibier dans la brume du marais, partageaient l’intimité froide de leur hutte avec un enfant de trois ans, inconscient des ténèbres qui allaient bientôt s’abattre sur eux. 

Rien dans ce paysage tranquille n’annonçait l’arrivée de cette meute d’âmes enragées, une dizaine de migrants dans un premier temps, aux visages marqués par l’échec de leur exil.
Quand ils ont surgit des ombres, ce fut comme l'éruption d'une violence muette, une haine enfouie sous des couches de misère, prête à déchirer tout ce qui se trouvait sur son chemin. 

La hutte, fragile abri contre les éléments, devint soudain un bastion encerclé par la horde.

La furie des exilés refoulés

Migrants en colère, Chasseurs en galère...

Ces migrants, empêchés par les forces de l’ordre de tenter leur chance à travers la Manche, avaient trouvé dans ces chasseurs une cible facile, comme si leur simple présence justifiait la brutalité à venir. 

Réussissant à saisir un des canards appelants à l'intérieur du refuge, après en avoir brisé les fenêtres, l'un des hommes n'a pas hésité à le décapiter. Les autres, menaçant ceux qui avaient déclenché leur furie à grand renfort de barres de fer et d'une machette.

Lorsqu'ils réalisèrent que l'alerte provenait des chasseurs, une meute d’une soixantaine d’hommes, animés par une violence à peine contenue, se précipita vers la hutte. Ils déchaînèrent une fureur méthodique sur les pare-brises des véhicules, réduisant en miettes tout ce qui symbolisait encore un semblant d'ordre. Puis, sans aucun état d'âme, ils pillèrent les effets personnels des victimes, piégées dans ce qui n'était plus qu'une caricature d'abri.
Derrière ces barricades de fortune, les malheureux comprirent trop tard que leur sort était déjà scellé, sacrifiés à la pulsion collective d’une humanité délabrée.

Le bruit des vitres éclatant sous les barres de fer, les cris, la course désespérée des hommes pour protéger l’enfant.
La scène avait quelque chose d’absurde et de tragique.
On décapitait un canard, comme pour célébrer la défaite de l’homme face au chaos. La porte de la hutte résista, comme une ultime illusion de sécurité dans un monde où plus rien ne tient.

À cet instant, ce n'était plus une simple tentative de survie mais une agonie collective, une confrontation entre ceux qui croient encore aux lois et ceux qui n'ont plus que leur rage pour se défendre.

Un petit garçon au cœur du tumulte

L'enfant, lui, ne comprenait rien, naturellement. Comment un garçon de trois ans aurait-il pu saisir l’ampleur de ce qui se jouait autour de lui ?
Et surtout..que faisait un garçon de cet âge avec des chasseurs à ce moment précis ?
Pourtant, la scène devait s’inscrire en lui, inconsciemment, comme un premier aperçu du monde adulte, un monde où la violence surgit sans prévenir, où l’ordre social s'effondre d’un coup. 

Les gendarmes arrivèrent enfin, au petit matin, tirant les chasseurs et l’enfant d’un sommeil qui n’en était plus un. Les militaires, aussi désabusés que ceux qu'ils venaient sauver, n'avaient que des regards fatigués à offrir en guise de consolation.

La pression monte sur les chasseurs

Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs, n’avait que peu d’illusions sur l’avenir. "Je crains qu'un véritable drame ne se produise bientôt", lâchait-il d’une voix lasse. 

Face à la brutalité croissante des migrants, face à cette dégradation incessante du tissu social, les chasseurs se retrouvaient malgré eux au centre d’un conflit plus large, un conflit où ils étaient à la fois spectateurs et acteurs, victimes et coupables d’avoir simplement été là. 

"Ils explosent les voitures, saccagent les huttes, décapitent les canards," déclare-t-il, presque comme une litanie, un résumé banal de l’état des choses. 

Mais il ajoute avec une fierté à peine voilée : "Mes chasseurs ne surréagissent pas, malgré la pression." Dans un monde où l’homme, armé, est confronté à une violence qu’il ne comprend plus, la retenue devient un acte héroïque. Mais pour combien de temps encore ? 

Schraen évoque déjà des situations similaires entre Calais et Le Touquet, des dizaines d'affrontements où les chasseurs sont devenus des sentinelles involontaires, des gardiens d’un ordre qui vacille. Les forces de l’ordre peinent à suivre, tandis que la violence se banalise.

L’urgence d'une solution avant la catastrophe

"Il faut une solution de maîtrise des flux migratoires avant que le drame n’arrive," martèle Schraen, mais on sent bien que même lui n’y croit plus vraiment. Il parle de ces migrants comme d’une menace inéluctable, une vague qui finira par tout submerger, emportant les chasseurs, les gendarmes et finalement tout ce qui constituait encore un semblant de civilisation dans cette région. 

C’est un avertissement qui sonne comme une prophétie, la sensation d’être à la veille d’un événement tragique, une confrontation inévitable entre deux mondes condamnés à s’affronter, l’un désespéré de quitter un enfer, l’autre, désillusionné, tentant maladroitement de le maintenir à distance. 

Annonce en direct à 11h04 de l'affaire chez Morandini sur Cnews ce lundi matin.

Témoignage d'un des chasseurs dans l'émission On marche sur la Tête sur Europe1

Source : France3Region

mercredi 11 septembre 2024

Une institutrice filmée en train de maltraiter une fillette de trois ans : les détails de l'affaire

 

Une enseignante suspendue pour maltraitance : la colère des parents d'élèves à Paris

Un acte choquant révélé par une vidéo

Quelques jours après la suspension d’une enseignante d’une école maternelle du 15e arrondissement de Paris, les parents d'élèves oscillent entre colère et incompréhension. 

Une vidéo, diffusée massivement sur les réseaux sociaux, montre une scène d'une brutalité froide : une fillette de trois ans, en larmes, est frappée puis aspergée d'eau par sa maîtresse. 

Le tout en quelques secondes à peine.
Face à ces images, les parents déposent plainte. Une enquête préliminaire est aussitôt ouverte.
Mais que s’est-il vraiment passé ce jour-là ?

Une rentrée scolaire marquée par la violence

L’incident s’est déroulé le mardi 3 septembre, au lendemain de la rentrée scolaire, un moment souvent difficile pour les petits qui vivent leur premier éloignement parental.
 

La fillette, apparemment bouleversée, pleure à chaudes larmes. C’est alors qu’une mère, qui accompagne son propre enfant dans la classe, décide de filmer ce qui allait devenir une affaire publique.
Sur les images, la tension est palpable, la violence soudaine, presque absurde dans sa cruauté.

La colère des parents monte en flèche

La vidéo est rapidement montrée aux autres parents.
Le jeudi, ils déposent plainte. L’enseignante, confrontée aux preuves, reconnaît les faits.
Elle présente des excuses, évoquant la difficulté de gérer seule 28 enfants dans une petite section. 

Vendredi, une inspectrice de l’Éducation nationale se rend sur place, mais ce n’est que le lundi suivant que l’enseignante est suspendue et remplacée.
Sa suspension est confirmée officiellement le mardi.
Une enquête administrative est lancée pour évaluer d'éventuelles sanctions disciplinaires.

Une communauté sous le choc

Les parents sont sous le choc, désemparés. Beaucoup n'avaient jamais eu de problèmes avec cette institutrice, qui enseigne depuis vingt ans dans cette école. 

Pour certains, c’est l’incompréhension totale. Le recteur, de son côté, affirme n'avoir jamais eu de signalements concernant cette enseignante jusqu’à présent. 

Dans ce tumulte, chacun cherche à comprendre ce qui a pu mener à cet instant de violence.

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)