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La députée Insoumise, Erislia Soudais, va soutenir pendant sa garde à vue Elias d'Imzalene qui avait déclaré vouloir "mener l'Intifada à Paris" lors d'un rassemblement pro-palestinien

Garde à vue et Intifada : L'écho troublant de l'engagement militant Erisilia Soudais défend Elias d'Imzalene, l’influenceur sous le poids des mots lors d'une manifestation pro-palestinienne à Paris   Un appel à la violence La députée Insoumise, Erisilia Soudais, se retrouve plongée dans la tourmente de la société contemporaine, où les mots peuvent se transformer en armes redoutables.  Elias d'Imzalene, cet influenceur de 29 ans, a ébranlé les esprits le 8 septembre dernier, lorsqu’il a clamé, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris, qu’il souhaitait "mener l’Intifada à Paris" .  Une déclaration qui résonne comme un cri de ralliement pour certains, mais qui, pour d’autres, constitue une provocation inacceptable. Des conséquences judiciaires Ce dernier, animateur du site Islam & Info et membre de l’association islamiste Perspectives musulmanes, a été placé en garde à vue suite à ses déclarations. Une enquête a été ouverte pour « provocatio

Mila abandonnée par son avocat : une affaire de valeurs qui divise

Mila, trahie par son avocat : le désenchantement d’une époque Après une énième agression et des années de controverses, Mila, icône malgré elle de la liberté d’expression, se voit abandonnée par son avocat lyonnais au nom de principes ébranlés.   Une rupture sous le signe de la trahison C’était un mardi comme les autres. Dans cette époque où tout est bruit, scandale et désillusion, Mila, 21 ans , annonçait à ses abonnés sur X (ex-Twitter) une nouvelle trahison. Son avocat, Maître Jean-Félix Luciani, l’abandonne. Il ne la défendra plus. Pourquoi ? Parce que cela serait, selon ses propres mots, « contraire à ses valeurs ». Une rupture brutale, sans nuances. Les valeurs de l’avocat, d’ordinaire imperméables à bien des noirceurs, se heurtent soudainement aux mots de cette jeune femme. Un écart grandissant entre les discours et la réalité Mila n’a pas hésité à dévoiler les dessous de cette décision. Jean-Félix Luciani, ce même avocat qui a défendu dans l’affaire Fiona, où un homme étai

"Je te nique ta mère" : l'agression choquante de Mila au cœur de Lyon

  La violence et l'indifférence : l'agression de Mila à Lyon Mila agressée en pleine rue : une réalité troublante  la scène du quotidien, l'horreur surgissante Dans le centre-ville de Lyon, une jeune femme, Mila, s'est retrouvée au cœur d'une violence inouïe. Alors qu’elle faisait des courses, portant le poids léger de sacs de shopping, elle a été interpellée par un inconnu, un agresseur dont les mots sont devenus des coups. "Je te nique ta mère", aurait-il lâché, comme une vérité inéluctable d'un monde où l'insulte et la brutalité s'entremêlent.   la haine à visage découvert Mila, déjà connue pour avoir été la cible de campagnes de haine sur les réseaux sociaux, s'est vue confrontée à une réalité physique, palpable. Les insultes fusent, filmées comme un spectacle de la déshumanisation, chaque insulte se mêlant à une violence qui ne laisse aucune place à l'empathie. "Toujours les mêmes qui nous emmerdent", rétorque-t-elle

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)