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La députée Insoumise, Erislia Soudais, va soutenir pendant sa garde à vue Elias d'Imzalene qui avait déclaré vouloir "mener l'Intifada à Paris" lors d'un rassemblement pro-palestinien

Garde à vue et Intifada : L'écho troublant de l'engagement militant Erisilia Soudais défend Elias d'Imzalene, l’influenceur sous le poids des mots lors d'une manifestation pro-palestinienne à Paris   Un appel à la violence La députée Insoumise, Erisilia Soudais, se retrouve plongée dans la tourmente de la société contemporaine, où les mots peuvent se transformer en armes redoutables.  Elias d'Imzalene, cet influenceur de 29 ans, a ébranlé les esprits le 8 septembre dernier, lorsqu’il a clamé, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris, qu’il souhaitait "mener l’Intifada à Paris" .  Une déclaration qui résonne comme un cri de ralliement pour certains, mais qui, pour d’autres, constitue une provocation inacceptable. Des conséquences judiciaires Ce dernier, animateur du site Islam & Info et membre de l’association islamiste Perspectives musulmanes, a été placé en garde à vue suite à ses déclarations. Une enquête a été ouverte pour « provocatio

La mère de Jean, 11 ans, victime de violence en colonie de vacances, retire sa plainte face aux menaces : "Je n'ai jamais voulu cela !"

  La tragédie de Jean : Quand la colonie de vacances devenait un enfer Une mère face à l'angoisse et à l'absurde : le retrait de plainte après des menaces de mort   Le cri d'une mère Cécile Lemaire , mère de Jean, un enfant de 11 ans, s’est retrouvée projetée dans un cauchemar où la réalité surpasse l’horreur. Après avoir exposé, avec une naïveté tragique, les violences subies par son fils lors d'une colonie de vacances en Bretagne, elle retire finalement sa plainte .  "Je n'ai jamais voulu cela !" lance-t-elle, désespérée, tandis que des inconnus, armés de leur indignation, vont jusqu'à menacer de mort les animateurs, complices d'une tragédie qu'ils n'ont pas su prévenir . Le calvaire d’un enfant Jean, un enfant issu de la somnolente région de la Somme, a passé une semaine à l’écart du monde, censé être épanouissant. Mais ce qui devait être un voyage initiatique s’est rapidement mué en un véritable supplice.  Frappé et harcelé par tro

Marseille : un enfant handicapé de 11 ans décède d'une crise cardiaque après une intimidation violente de son entourage familial

  Marseille : Quand la violence et la terreur éteignent des étoiles innocentes : on est vraiment chez les fous... Une tragédie éprouvante au cœur de Marseille Le lundi 16 septembre, à Marseille, une tragédie d'une cruauté insupportable s'est déroulée dans le 14e arrondissement. Un enfant de 11 ans, handicapé, a trouvé la mort dans des circonstances qui révèlent un climat de terreur quotidienne et de désespoir latent. La crise cardiaque, fatale et silencieuse, qui l’a emporté, est survenue au sein de la résidence Jean-Jaurès, alors que les secours, malgré leur intervention, n'ont pu que constater l'irréversibilité du drame.  Ce petit être, vulnérable à l’extrême, s'est effacé sous les coups de la peur et de l’intimidation. Une sœur en révolte et une montée de violence L'origine de ce désastre remonte à une banale altercation enfantine : la sœur de la victime, âgée de 13 ans, avait récemment brisé le vélo d’un adolescent du quartier. Cet acte insignifiant, m

Edito

 


La France : un pays à la dérive, entre crise et résignation

Il y a ce moment où l’on sent que tout bascule, où la machine s’emballe, et personne ne semble capable de trouver le frein.


La France, en cette fin d’été, semble justement traverser cette période trouble, cette crise politique et sociale qui prend des allures de descente en spirale.

Le gouvernement, acculé, incapable de garantir ne serait-ce qu’un semblant de sécurité et de stabilité, se débat comme un funambule ivre au bord du vide.

On parle de lenteur judiciaire, de réformes qui n’arrivent jamais ou bien trop tard, de faits divers qui s'enchaînent, grotesques et tragiques, révélant autant de failles béantes dans un système à bout de souffle.

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles, de colères rentrées ou éclatantes, de manifestations qui tournent mal, de violences qui s’insinuent dans les moindres recoins du quotidien. Les Français, fatigués par des crises à répétition, ne croient plus à grand-chose, encore moins aux discours convenus des ministres. Le mécontentement est partout, diffus, palpable, comme une fièvre qui ne tombe pas. La défiance envers le gouvernement grandit, s'étend, se nourrit de chaque échec, de chaque scandale, de chaque bourde.

Les blogs, ces sentinelles modernes du malaise social, s’en font les relais inlassables. On y raconte des histoires à peine croyables, des chroniques de l’absurde où se mêlent faits divers sordides, dysfonctionnements législatifs et judiciaires. L’une des pages les plus suivies se plaît à dresser l’inventaire des ratés, à épingler les petites lâchetés du pouvoir, à multiplier les anecdotes sur cette situation qui semble à bien des égards hors de contrôle. Chaque récit devient une pierre jetée contre la façade lézardée d’un État qui vacille.


Dans ce chaos orchestré, tout le monde perd pied. Les institutions, censées garantir l’ordre et la justice, paraissent soudain aussi fragiles que des constructions de papier. Les réformes promises sonnent creux, comme des promesses faites à la hâte, juste assez pour gagner du temps, jamais assez pour résoudre les problèmes. Tout semble suspendu, en attente, dans une sorte de flottement inquiétant.

Et pourtant, il y a ce sentiment diffus, ce murmure de fond qui gronde : quelque chose va finir par céder. La question n’est pas de savoir si, mais quand. La France avance, vacillante, le regard fixé sur un horizon de plus en plus incertain, les pieds sur un sol de plus en plus meuble. 

Les fissures s’élargissent. L'histoire, elle, attend son dénouement. 

JDF (Journal des Fous)